Le commandant Aziz Korogo, ex-chef de corps par intérim du défunt Régiment de sécurité présidentiel (RSP) et un autre détenu (non identifié), précédemment incarcérés à la Maison d’arrêt et de correction des armées (MACA), dans le cadre de l’enquête relative au putsch manqué du 16 septembre au Burkina Faso, viennent de bénéficier d’une liberté provisoire, a-t-on appris lundi de sources médiatiques.
Selon les médias qui citent une source judiciaire, la liberté provisoire a été signifiée aux deux prisonniers, le vendredi dernier, par un juge en charge du dossier.
Il en ressort que "le juge en charge du dossier, après avoir convoqué le commandant Aziz Korogo et un autre détenu, leur a signifié qu’ils bénéficient d’une liberté provisoire".
Le commandant Korogo était pourtant cité comme l’un des éléments irréductibles pendant le coup d’Etat manqué du 16 septembre dernier, conduit par les soldats de l’ex-RSP, avec à sa tête le général Gilbert Diendéré.
Le 16 septembre 2015, des soldats proches de l’ancien président Blaise Compaoré ont perpétré un coup d’Etat après avoir renversé brièvement le régime de transition.
Par la suite, ils ont été défaits par une résistance populaire dans laquelle une quinzaine de personnes ont trouvé la mort.
Dans le cadre de l’enquête, plusieurs personnalités (militaires et civiles) ont été interpellées et incarcérées à la MACA. Plusieurs d’entre elles ont été, par la suite libérées.
D’autres, dont les généraux Gilbert Diendéré, ancien bras droit de Compaoré et Djibrill Bassolé, ex-ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré, sont toujours en prison.
ALK/od/APA
Selon les médias qui citent une source judiciaire, la liberté provisoire a été signifiée aux deux prisonniers, le vendredi dernier, par un juge en charge du dossier.
Il en ressort que "le juge en charge du dossier, après avoir convoqué le commandant Aziz Korogo et un autre détenu, leur a signifié qu’ils bénéficient d’une liberté provisoire".
Le commandant Korogo était pourtant cité comme l’un des éléments irréductibles pendant le coup d’Etat manqué du 16 septembre dernier, conduit par les soldats de l’ex-RSP, avec à sa tête le général Gilbert Diendéré.
Le 16 septembre 2015, des soldats proches de l’ancien président Blaise Compaoré ont perpétré un coup d’Etat après avoir renversé brièvement le régime de transition.
Par la suite, ils ont été défaits par une résistance populaire dans laquelle une quinzaine de personnes ont trouvé la mort.
Dans le cadre de l’enquête, plusieurs personnalités (militaires et civiles) ont été interpellées et incarcérées à la MACA. Plusieurs d’entre elles ont été, par la suite libérées.
D’autres, dont les généraux Gilbert Diendéré, ancien bras droit de Compaoré et Djibrill Bassolé, ex-ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré, sont toujours en prison.
ALK/od/APA