Une délégation du Fond monétaire international (FMI) a rendu visite à la chambre de commerce et d’industrie libanaise de Côte d’Ivoire (CCILCI), ce jeudi 30 juin 2016.
Composée de Dan Ghura et d’Alain Feler, respectivement chef de division Afrique de l’ouest et représentant résident du FMI, la délégation est venue s’enquérir des préoccupations de la CCILCI en ce qui concerne le climat des affaires.
Pour les représentants de la CCILCI, « il y a une amélioration du climat des affaires et sécuritaires, ce qui conduit à favoriser l’investissement ». Toutefois, la CCILCI a dénoncé la pression fiscale de plus en plus forte, la concurrence déloyale du secteur informel, les infrastructures routières en mauvais état, notamment dans les zones industrielles et les frais d’approche élevés du port d’Abidjan.
Pour Michel Rustom, le DG de la CCILCI, « les indicateurs macroéconomiques au vert, ne doivent pas occulter les difficultés que rencontrent les entreprises au quotidien ». C’est pour trouver une solution à ces difficultés que la CCILCI multiplie les rencontres avec les autorités.
Pour les membres de la délégation du FMI, cette rencontre a été l’occasion d’échanger avec des acteurs du secteur privé qui ressentent directement les effets des politiques économiques mises en œuvre.
Composée de Dan Ghura et d’Alain Feler, respectivement chef de division Afrique de l’ouest et représentant résident du FMI, la délégation est venue s’enquérir des préoccupations de la CCILCI en ce qui concerne le climat des affaires.
Pour les représentants de la CCILCI, « il y a une amélioration du climat des affaires et sécuritaires, ce qui conduit à favoriser l’investissement ». Toutefois, la CCILCI a dénoncé la pression fiscale de plus en plus forte, la concurrence déloyale du secteur informel, les infrastructures routières en mauvais état, notamment dans les zones industrielles et les frais d’approche élevés du port d’Abidjan.
Pour Michel Rustom, le DG de la CCILCI, « les indicateurs macroéconomiques au vert, ne doivent pas occulter les difficultés que rencontrent les entreprises au quotidien ». C’est pour trouver une solution à ces difficultés que la CCILCI multiplie les rencontres avec les autorités.
Pour les membres de la délégation du FMI, cette rencontre a été l’occasion d’échanger avec des acteurs du secteur privé qui ressentent directement les effets des politiques économiques mises en œuvre.