Un séminaire national sur le code de l’artisanat de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), s’est ouvert mercredi à Abidjan, à l’intention des acteurs du secteur artisanal, afin de leur permettre de s’imprégner de cet outil adopté par l’Union en 2014.
«La Côte d’Ivoire a intégré ce code dans ces dispositifs réglementaires. Il faut donc appeler l’ensemble des artisans, des faîtières, pour leur expliquer, divulguer ce code, les sensibiliser, pour qu’ils puissent relayer l’information dans leur régions », a signifié le ministre de l`Entrepreneuriat national, de la Promotion des PME et de l`Artisanat, Azoumana Moutayé, précisant que ce code permet aux artisans d’évoluer dans un environnement réglementaire avec une harmonisation des textes dans les huit pays de l’espace monétaire, une meilleure reconnaissance de l’artisan et des entreprises artisanales.
Il a souhaité une bonne compréhension des textes par participants pour un meilleur impact dans ce secteur qui, selon lui, est incontournable dans le développement économique et dans les politiques de réduction de la pauvreté des pays de l'Union.
Pour le conseiller auprès du bureau du représentant de l’UEMOA, Adrien Kohoué, ce code impose le changement significatif de l’exercice de l’artisanat, et l’adoption de principe telles que la complémentarité, la solidarité, une approche régionale de l'artisanat et le développement durable.
Le secteur artisanal contribue à 20% du Produit intérieur brute (PIB) de l’UEMOA, occupe 25% des emplois formels, et génère environ 100.000 emplois, a-t-il fait savoir.
tad/tm
«La Côte d’Ivoire a intégré ce code dans ces dispositifs réglementaires. Il faut donc appeler l’ensemble des artisans, des faîtières, pour leur expliquer, divulguer ce code, les sensibiliser, pour qu’ils puissent relayer l’information dans leur régions », a signifié le ministre de l`Entrepreneuriat national, de la Promotion des PME et de l`Artisanat, Azoumana Moutayé, précisant que ce code permet aux artisans d’évoluer dans un environnement réglementaire avec une harmonisation des textes dans les huit pays de l’espace monétaire, une meilleure reconnaissance de l’artisan et des entreprises artisanales.
Il a souhaité une bonne compréhension des textes par participants pour un meilleur impact dans ce secteur qui, selon lui, est incontournable dans le développement économique et dans les politiques de réduction de la pauvreté des pays de l'Union.
Pour le conseiller auprès du bureau du représentant de l’UEMOA, Adrien Kohoué, ce code impose le changement significatif de l’exercice de l’artisanat, et l’adoption de principe telles que la complémentarité, la solidarité, une approche régionale de l'artisanat et le développement durable.
Le secteur artisanal contribue à 20% du Produit intérieur brute (PIB) de l’UEMOA, occupe 25% des emplois formels, et génère environ 100.000 emplois, a-t-il fait savoir.
tad/tm
