Les activités syndicales dans les universités ivoiriennes ont été suspendues, mercredi, par le Gouvernement ivoirien qui a par ailleurs décidé du maintien des forces de l’ordre sur les campus pour assurer la protection des biens et des personnes après les violences survenues en début de semaine.
Selon le porte-parole du gouvernement ivoirien Bruno Nabagné Koné qui s’exprimait à l’issue d’un Conseil de ministre présidé par le Chef de l’Etat Alassane Ouattara, cette décision fait suite aux récents mouvements de violences qui ont émaillé l’Université Félix Houpouët-Boigny d’Abidjan-Cocody. Cette mesure de suspension court ''jusqu’à nouvel ordre'', a-t-il précisé.
Ces événements, faisant plusieurs blessés parmi les étudiants et les forces de l’ordre. Des véhicules avaient été également saccagésLa Fédération estudiantine et scolaire de Cote d’Ivoire (FESCI), le plus ancien et principal syndicat estudiantin du pays a annoncé dans la foulée l’arrestation d’une cinquantaine de ses membres.
Des échauffourées ont éclaté, lundi, entre les étudiants de la FESCI et des policiers lorsque les forces de l’ordre ont lancé du gaz lacrymogène pour dissuader des étudiants grévistes qui tentaient de faire sortir des amphithéâtres des étudiants des facultés de Sciences économiques et de Droit.
MC/ls/APA
Selon le porte-parole du gouvernement ivoirien Bruno Nabagné Koné qui s’exprimait à l’issue d’un Conseil de ministre présidé par le Chef de l’Etat Alassane Ouattara, cette décision fait suite aux récents mouvements de violences qui ont émaillé l’Université Félix Houpouët-Boigny d’Abidjan-Cocody. Cette mesure de suspension court ''jusqu’à nouvel ordre'', a-t-il précisé.
Ces événements, faisant plusieurs blessés parmi les étudiants et les forces de l’ordre. Des véhicules avaient été également saccagésLa Fédération estudiantine et scolaire de Cote d’Ivoire (FESCI), le plus ancien et principal syndicat estudiantin du pays a annoncé dans la foulée l’arrestation d’une cinquantaine de ses membres.
Des échauffourées ont éclaté, lundi, entre les étudiants de la FESCI et des policiers lorsque les forces de l’ordre ont lancé du gaz lacrymogène pour dissuader des étudiants grévistes qui tentaient de faire sortir des amphithéâtres des étudiants des facultés de Sciences économiques et de Droit.
MC/ls/APA