Affi Nguessan, président du Front Populaire Ivoirien, animant une conférence de presse ce vendredi, à son quartier général, a demandé au président Alassane Ouattara de renoncer à son projet de modification constitutionnelle. Pour le président de l’Alliance des Forces démocratique (AFD, opposition), l’urgence, aujourd’hui, c’est le coût de la vie, la crise à l’université et les questions liées au processus de réconciliation nationale.
’’Le pays est en ébullition à cause des injustices, des fausses promesses ’’, a déclaré Affi Nguessan, rappelant que le chef d’Etat a promis, lors de son dernier discours à la nation, d’annuler le trop perçu sur les factures d’électricité. « Il faut annuler la facturation excessive de l’électricité », a insisté l’ancien premier ministre. Qui annonce une campagne de mobilisation ‘’pour dire non à la reforme constitutionnelle, la pauvreté des populations, la libération des prisonniers politiques, le respect des Droits de l’Homme’’.
‘’L’heure est grave. Que tous les ivoiriens se mobilisent. Il faut mettre fin à ce drame. Il faut mettre fin au cinéma judiciaire et à la situation de l’université qui est à l’abandon’’, ajoute-t-il, tout en réclamant la libération des étudiants arrêtés dans le cadre des affrontements avec les policiers.
Des manifestations violentes sont signalées depuis quelques jours dans plusieurs villes du pays réclamant la réduction du coût de l’électricité. Ces manifestations, prenant l’allure d’émeutes, s’attaquent aux agences de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE).
DA
’’Le pays est en ébullition à cause des injustices, des fausses promesses ’’, a déclaré Affi Nguessan, rappelant que le chef d’Etat a promis, lors de son dernier discours à la nation, d’annuler le trop perçu sur les factures d’électricité. « Il faut annuler la facturation excessive de l’électricité », a insisté l’ancien premier ministre. Qui annonce une campagne de mobilisation ‘’pour dire non à la reforme constitutionnelle, la pauvreté des populations, la libération des prisonniers politiques, le respect des Droits de l’Homme’’.
‘’L’heure est grave. Que tous les ivoiriens se mobilisent. Il faut mettre fin à ce drame. Il faut mettre fin au cinéma judiciaire et à la situation de l’université qui est à l’abandon’’, ajoute-t-il, tout en réclamant la libération des étudiants arrêtés dans le cadre des affrontements avec les policiers.
Des manifestations violentes sont signalées depuis quelques jours dans plusieurs villes du pays réclamant la réduction du coût de l’électricité. Ces manifestations, prenant l’allure d’émeutes, s’attaquent aux agences de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE).
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