Bouaké, capitale du Gbeke et deuxième ville du pays est en ébullition depuis vendredi matin. La cause ? Un vent de protestation contre la hausse des factures d’électricité.
Bouaké, ex-fief de la rébellion qui a secoué le pays de septembre 2002 à octobre 2010, ne trahit pas son statut de ville rebelle. Dans la journée du vendredi 22 juillet, les habitants de la ville sont sortis dans la rue pour protester contre la hausse des factures d’électricité avant d’assiéger une agence de la compagnie ivoirienne d’électricité (CIE), filiale du groupe français Eranove, en charge de la commercialisation et de la distribution de cette ressource dans le pays.
La manifestation a dégénéré dans la violence avec pour corollaire le saccage et l’incendie de l’agence de... suite de l'article sur Jeune Afrique
Bouaké, ex-fief de la rébellion qui a secoué le pays de septembre 2002 à octobre 2010, ne trahit pas son statut de ville rebelle. Dans la journée du vendredi 22 juillet, les habitants de la ville sont sortis dans la rue pour protester contre la hausse des factures d’électricité avant d’assiéger une agence de la compagnie ivoirienne d’électricité (CIE), filiale du groupe français Eranove, en charge de la commercialisation et de la distribution de cette ressource dans le pays.
La manifestation a dégénéré dans la violence avec pour corollaire le saccage et l’incendie de l’agence de... suite de l'article sur Jeune Afrique