Agboville – Le préfet de la région de l’Agnéby-Tiassa et du département d’Agboville, Anatole-Privat Bako Digbé, a échangé dimanche avec les différentes couches socio-professionnelles sur les questions de la double facturation et du coût de l’électricité pratiqués par la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE).
L’objectif de cette rencontre est d’épargner Agboville d’une quelconque manifestation des populations contre cette structure, telle que vécue, ces temps-ci, dans certaines localités à l’intérieur du pays, et virant dans des actes de vandalisme et des scènes de pillages.
Lors des échanges avec ses administrés, le préfet a réitéré son appel au calme et présenté, au nom du gouvernement, ses excuses à tous les clients locaux de la CIE qui ont été frustrés par le mauvais accueil des agents de la Compagnie que par le manque de communication. De même, il a invité les différents guides religieux à appeler au calme leurs fidèles afin de permettre à Agboville de demeurer dans la tranquillité et en dehors des manifestations contre la CIE.
Le représentant du Président de la République a, par ailleurs, exhorté ses administrés à s’adresser désormais au comité de réflexion mis en place pour recenser les problèmes des consommateurs, en la matière, en cas de mauvais accueil subi à l’agence CIE ou même à la SODECI, pour la préservation de la paix sociale.
Au total, après avoir écouté les explications d’un responsable local de la CIE sur ce qui est à la base des récentes manifestations violentes contre la CIE, ainsi que les interventions de plusieurs consommateurs, l’administrateur civil a décidé de mettre sur pied un comité de réflexion qui aura la charge de recenser les problèmes, les préoccupations et les griefs des populations contre la CIE, en vue d’élaborer une synthèse qui sera consignée dans un document à transmettre aux décideurs publics.
Entre lundi et vendredi, les localités de Yamoussoukro, Tiassalé, Daloa, Korhogo et Bouaké ont été le théâtre de manifestations parfois violentes contre la CIE, avec à la clé mort d’homme à Bouaké et des scènes de pillages.
(AIP)
ja/cmas
L’objectif de cette rencontre est d’épargner Agboville d’une quelconque manifestation des populations contre cette structure, telle que vécue, ces temps-ci, dans certaines localités à l’intérieur du pays, et virant dans des actes de vandalisme et des scènes de pillages.
Lors des échanges avec ses administrés, le préfet a réitéré son appel au calme et présenté, au nom du gouvernement, ses excuses à tous les clients locaux de la CIE qui ont été frustrés par le mauvais accueil des agents de la Compagnie que par le manque de communication. De même, il a invité les différents guides religieux à appeler au calme leurs fidèles afin de permettre à Agboville de demeurer dans la tranquillité et en dehors des manifestations contre la CIE.
Le représentant du Président de la République a, par ailleurs, exhorté ses administrés à s’adresser désormais au comité de réflexion mis en place pour recenser les problèmes des consommateurs, en la matière, en cas de mauvais accueil subi à l’agence CIE ou même à la SODECI, pour la préservation de la paix sociale.
Au total, après avoir écouté les explications d’un responsable local de la CIE sur ce qui est à la base des récentes manifestations violentes contre la CIE, ainsi que les interventions de plusieurs consommateurs, l’administrateur civil a décidé de mettre sur pied un comité de réflexion qui aura la charge de recenser les problèmes, les préoccupations et les griefs des populations contre la CIE, en vue d’élaborer une synthèse qui sera consignée dans un document à transmettre aux décideurs publics.
Entre lundi et vendredi, les localités de Yamoussoukro, Tiassalé, Daloa, Korhogo et Bouaké ont été le théâtre de manifestations parfois violentes contre la CIE, avec à la clé mort d’homme à Bouaké et des scènes de pillages.
(AIP)
ja/cmas