Le ministre Français de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, Porte-parole du Gouvernement, Stéphane Le FOLL et le ministre ivoirien auprès du Premier ministre en charge de l’Economie et des Finances, Adama Koné et celui du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Abdourhamane Cissé ont signé jeudi à Yamoussoukro, dans le cadre du Contrat de Désendettement et de Développement (C2D), deux (2) protocoles financiers, portant sur l’appui budgétaire, au titre de l’année 2016, et la mise en place d’un Centre National de Calcul.
la convention du C2D paraphé par la France et la Côte d’Ivoire permettra à l’Etat ivoirien d’apurer une partie de sa dette intérieure pour un montant total de 45,92 Milliards de FCFA, a indiqué le Chef du Gouvernement ivoirien Daniel Kablan Duncan qui présidait cette signature de convention.
Quatre priorités sont concernées par cet appui. Il s’agit de l’apurement des arriérés. Ce qui devra concourir au redressement des finances publiques à travers le désintéressement des entreprises dans le secteur des infrastructures routières. Il y a également les restes à payer dans le secteur de la santé qui prennent en compte un appui aux centres hospitaliers et aux centres de santé de base qui ont vu, avec la politique de gratuité ciblée mise en œuvre par le Gouvernement, leurs capacités financières diminuées dans une période de contrainte de trésorerie où les transferts budgétaires s’effectuent plus difficilement. Le fonds d’études de l’Etat qui consistera à financer les études préalables nécessaires à tout projet d’envergure inscrit dans le Plan National de Développement (PND) 2016/2020 et dans le Programme d’Investissement Public (PIP), en vue de contribuer à l’atteinte des objectifs de développement du Gouvernement. Puis enfin l’appui à apporter dans le secteur des infrastructures qui devra permettre de participer au désenclavement de certains quartiers à Abidjan et de certaines villes de l’intérieur.
Quant au second protocole financier signé, il résulte d’un prêt du Trésor français de 6,98 Mds FCFA. Il consiste en la mise en service d’un Centre National de Calcul dont le but est de contribuer, à terme, à la souveraineté nationale. Selon le Premier ministre, il s’agit d’installer un supercalculateur, qui sera opérationnel avant la fin de cette année 2016, pour appuyer la prise de décisions en matière de recherche dans les domaines de l’agriculture, de l’agronomie, de la météorologie et de l’environnement.
Elisée B.
la convention du C2D paraphé par la France et la Côte d’Ivoire permettra à l’Etat ivoirien d’apurer une partie de sa dette intérieure pour un montant total de 45,92 Milliards de FCFA, a indiqué le Chef du Gouvernement ivoirien Daniel Kablan Duncan qui présidait cette signature de convention.
Quatre priorités sont concernées par cet appui. Il s’agit de l’apurement des arriérés. Ce qui devra concourir au redressement des finances publiques à travers le désintéressement des entreprises dans le secteur des infrastructures routières. Il y a également les restes à payer dans le secteur de la santé qui prennent en compte un appui aux centres hospitaliers et aux centres de santé de base qui ont vu, avec la politique de gratuité ciblée mise en œuvre par le Gouvernement, leurs capacités financières diminuées dans une période de contrainte de trésorerie où les transferts budgétaires s’effectuent plus difficilement. Le fonds d’études de l’Etat qui consistera à financer les études préalables nécessaires à tout projet d’envergure inscrit dans le Plan National de Développement (PND) 2016/2020 et dans le Programme d’Investissement Public (PIP), en vue de contribuer à l’atteinte des objectifs de développement du Gouvernement. Puis enfin l’appui à apporter dans le secteur des infrastructures qui devra permettre de participer au désenclavement de certains quartiers à Abidjan et de certaines villes de l’intérieur.
Quant au second protocole financier signé, il résulte d’un prêt du Trésor français de 6,98 Mds FCFA. Il consiste en la mise en service d’un Centre National de Calcul dont le but est de contribuer, à terme, à la souveraineté nationale. Selon le Premier ministre, il s’agit d’installer un supercalculateur, qui sera opérationnel avant la fin de cette année 2016, pour appuyer la prise de décisions en matière de recherche dans les domaines de l’agriculture, de l’agronomie, de la météorologie et de l’environnement.
Elisée B.