Entrée en vigueur depuis le 1er Août 2016, la mesure de réajustement des nouveaux tarifs du transport en Côte d’Ivoire souhaitée par le Président de la République, Alassane Ouattara et dont les mesures d’application ont été définies par l’ensemble des acteurs du transport en collaboration avec le ministère des Transports connaissent un succès intéressant à l’intérieur du pays, selon Diaby Ibrahim, Directeur général du Haut conseil du patronat des entreprises de transport routier de Côte d’Ivoire (Hcpetr).
Lors de la conférence de presse animée par le Haut conseil du patronat des entreprises de transport routier de Côte d’Ivoire au siège de la structure à Treichville, Diaby Ibrahim faisant le point de l’application effective des nouveaux tarifs concernant les villes de l’intérieur, s’est réjoui du suivi des consignes données dans ce sens. A en croire le Dg du Hcpetr, les lignes départementales et sous- préfectorales sur l’ensemble du territoire national ont revu à la baisse le coût des frais de transport. A titre d’exemple, Oumé-Yamoussoukro qui était à 2000 FCFA est désormais à 1500. Bondoukou-Bouna, 3500 FCFCA contre 4000. Bondoukou-Abidjan 6000 FCFA au lieu de 8000. Korhogo-Abidjan est passé de 10.000 à 8000 FCFA. Tels sont, entre autres, les nouveaux tarifs appliqués sur ces lignes. Le conférencier a donné l’assurance de faire appliquer les nouvelles grilles tarifaires même dans les contrées les plus lointaines de la Côte d’Ivoire. C’est leur contribution au renforcement de la cohésion sociale tant prônée par le chef de l’Etat. Concernant les zones à problèmes, Diaby Ibrahim a indiqué que certaines zones ne sont pas concernées par la mesure en raison des « difficultés liées aux infrastructures routières » en très mauvais état. A ce jour, poursuit le conférencier, le principe de réduction du coût du transport, qui n’est pas une décision unilatérale est épousé par les acteurs du transport. Toutefois, certains parmi eux souhaitent des compléments d’informations afin de s’aligner sur le principe. Car pour lui, tous les transporteurs vont finir par « entrer dans le moule ». A propos du district d’Abidjan, Diaby et ses collaborateurs ont promis mettre de l’ordre, particulièrement sur la ligne de Gonzakville-Adjamé où le message semble connaitre à ce jour des échos peu favorables. Il a conclu que le bilan tant en zone urbaine qu’inter-urbaine était satisfaisant dans l’ensemble pour le début du processus.
E.F
Lors de la conférence de presse animée par le Haut conseil du patronat des entreprises de transport routier de Côte d’Ivoire au siège de la structure à Treichville, Diaby Ibrahim faisant le point de l’application effective des nouveaux tarifs concernant les villes de l’intérieur, s’est réjoui du suivi des consignes données dans ce sens. A en croire le Dg du Hcpetr, les lignes départementales et sous- préfectorales sur l’ensemble du territoire national ont revu à la baisse le coût des frais de transport. A titre d’exemple, Oumé-Yamoussoukro qui était à 2000 FCFA est désormais à 1500. Bondoukou-Bouna, 3500 FCFCA contre 4000. Bondoukou-Abidjan 6000 FCFA au lieu de 8000. Korhogo-Abidjan est passé de 10.000 à 8000 FCFA. Tels sont, entre autres, les nouveaux tarifs appliqués sur ces lignes. Le conférencier a donné l’assurance de faire appliquer les nouvelles grilles tarifaires même dans les contrées les plus lointaines de la Côte d’Ivoire. C’est leur contribution au renforcement de la cohésion sociale tant prônée par le chef de l’Etat. Concernant les zones à problèmes, Diaby Ibrahim a indiqué que certaines zones ne sont pas concernées par la mesure en raison des « difficultés liées aux infrastructures routières » en très mauvais état. A ce jour, poursuit le conférencier, le principe de réduction du coût du transport, qui n’est pas une décision unilatérale est épousé par les acteurs du transport. Toutefois, certains parmi eux souhaitent des compléments d’informations afin de s’aligner sur le principe. Car pour lui, tous les transporteurs vont finir par « entrer dans le moule ». A propos du district d’Abidjan, Diaby et ses collaborateurs ont promis mettre de l’ordre, particulièrement sur la ligne de Gonzakville-Adjamé où le message semble connaitre à ce jour des échos peu favorables. Il a conclu que le bilan tant en zone urbaine qu’inter-urbaine était satisfaisant dans l’ensemble pour le début du processus.
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