Soubré - Un projet de gestion des pesticides obsolètes en Côte d’Ivoire (PROGEP-CI) a été lancé, mercredi, à Soubré (Sud-ouest).
Il est financé par la Banque mondiale à hauteur de 3,5 milliards FCFA pour la phase d'exécution avec une contribution du gouvernement ivoirien de 2,25 milliards FCFA et un cofinancement à travers des projets complémentaires de 10,5 milliards FCFA sur une période de cinq ans.
Sa mise en œuvre devra contribuer à la gestion rationnelle des stocks de pesticides obsolètes et les déchets associés, en vue de la préservation de l’écosystème, la réduction des risques sanitaires liés à leur utilisation ainsi que le développement d’une agriculture durable.
Les exploitants agricoles ont recours aux pesticides pour lutter contre les insectes qui détruisent les cultures et les mauvaises herbes, a fait remarquer le coordonnateur national du projet, Pr Kouadio Georges, représentant le ministre de l’Environnement et du Développement Durable, relevant toutefois que l’utilisation des pesticides présente des risques sanitaires avec des effets cancérigènes et endocriniens et constitue une source de pollution de l’environnement.
«C’est pour assurer la bonne gestion de ces pesticides obsolètes que l'État de Côte d’Ivoire, par le biais du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable, du Ministère de l’Agriculture et du Développement rural en collaboration avec la Banque Mondiale, a initié le projet de gestion des pesticides obsolètes et déchets associés en Côte d'Ivoire», a-t-il expliqué.
Le représentant de la Banque mondiale, Douglas Graham, a souligné que PROGEP-CI est "une occasion ultime" pour la Côte d’Ivoire de se débarrasser des pesticides obsolètes et non homologués. Il invite tous les acteurs concernés à œuvrer pour que le projet soit une réussite. Il a été suivi en cela par le préfet de région de la Nawa, Alliali Kouadio, pour qui "le projet doit nous permettre de nous réconcilier avec notre environnement".
Les progrès scientifiques ont conduit à l’interdiction de certains pesticides et à une restriction dans l'utilisation d’autres, fait-on savoir.
(AIP)
km/akn/ask
Il est financé par la Banque mondiale à hauteur de 3,5 milliards FCFA pour la phase d'exécution avec une contribution du gouvernement ivoirien de 2,25 milliards FCFA et un cofinancement à travers des projets complémentaires de 10,5 milliards FCFA sur une période de cinq ans.
Sa mise en œuvre devra contribuer à la gestion rationnelle des stocks de pesticides obsolètes et les déchets associés, en vue de la préservation de l’écosystème, la réduction des risques sanitaires liés à leur utilisation ainsi que le développement d’une agriculture durable.
Les exploitants agricoles ont recours aux pesticides pour lutter contre les insectes qui détruisent les cultures et les mauvaises herbes, a fait remarquer le coordonnateur national du projet, Pr Kouadio Georges, représentant le ministre de l’Environnement et du Développement Durable, relevant toutefois que l’utilisation des pesticides présente des risques sanitaires avec des effets cancérigènes et endocriniens et constitue une source de pollution de l’environnement.
«C’est pour assurer la bonne gestion de ces pesticides obsolètes que l'État de Côte d’Ivoire, par le biais du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable, du Ministère de l’Agriculture et du Développement rural en collaboration avec la Banque Mondiale, a initié le projet de gestion des pesticides obsolètes et déchets associés en Côte d'Ivoire», a-t-il expliqué.
Le représentant de la Banque mondiale, Douglas Graham, a souligné que PROGEP-CI est "une occasion ultime" pour la Côte d’Ivoire de se débarrasser des pesticides obsolètes et non homologués. Il invite tous les acteurs concernés à œuvrer pour que le projet soit une réussite. Il a été suivi en cela par le préfet de région de la Nawa, Alliali Kouadio, pour qui "le projet doit nous permettre de nous réconcilier avec notre environnement".
Les progrès scientifiques ont conduit à l’interdiction de certains pesticides et à une restriction dans l'utilisation d’autres, fait-on savoir.
(AIP)
km/akn/ask