La Ministre de la Solidarité, de la Cohésion Sociale et de l’Indemnisation des Victimes a rendu une visite le jeudi 04 août 2016 aux populations de la sous préfecture de Bagohouo et environ suite à l’opération de déguerpissement du Mont Peko.
En effet, le gouvernement ivoirien a adopté un ordre de libération de la forêt et de ses environs sur 4 kilomètres, à respecter scrupuleusement pour le 30 juillet au plus tard. Suite à la décision, tous les infiltrés (environ 20.000 âmes) sont sortis du parc et ont trouvé refuge dans des villages environnants.
La visite ce jour de la Ministre est donc motivée par le souci d’échanger avec les riverains et les ex-infiltrés sur leurs préoccupations. « Je suis venue vers vous pour constater l’effectivité de l’évacuation du Mont Peko mais surtout vous écouter, recueillir vos besoins et attentes et rendre compte.. » dira t’elle en substance.
Opportunité saisie par les autorités de la région, les chefs coutumiers et le porte parole des communautés déguerpies qui ont tiré la sonnette d’alarme sur les difficultés consécutives à la sortie massive des infiltrés. Ainsi le surpeuplement subite des 22 villages riverains provoque une grave insuffisance en infrastructures sanitaires de base, une pénurie alimentaire, un accroissement des risques d’épidémie et un sentiment d’insécurité grandissant.
La Ministre de la Solidarité qui conduisait une forte délégation composée de responsables d’ONG présentes en Côte d’Ivoire, a rassuré les populations et promis trouver réponses à leurs sollicitations.
Créé en 1968 sur 34 000 hectares près de Douékoué, dans l’ouest de la Côte d’Ivoire, le parc du Mont Peko etait occupé, selon un recensement réalisé en 2014 par le ministère ivoirien en charge de la Famille par 20 622 planteurs dont 96% sont étrangers (qualifiés d’ « infiltrés »),
Après une première tentative lancée en 2013 où certains de ces « infiltrés » ont été évacués et relogés dans des habitations à proximité du parc, Le gouvernement déterminé à les deguerpir pour se conformer à ses engagements internationaux en matière de protection de la biodiversité a adopté le 7 juillet un ordre de libération de la forêt et de ses environs sur 4 kilomètres, à respecter pour le 30 juillet au plus tard.
FD
En effet, le gouvernement ivoirien a adopté un ordre de libération de la forêt et de ses environs sur 4 kilomètres, à respecter scrupuleusement pour le 30 juillet au plus tard. Suite à la décision, tous les infiltrés (environ 20.000 âmes) sont sortis du parc et ont trouvé refuge dans des villages environnants.
La visite ce jour de la Ministre est donc motivée par le souci d’échanger avec les riverains et les ex-infiltrés sur leurs préoccupations. « Je suis venue vers vous pour constater l’effectivité de l’évacuation du Mont Peko mais surtout vous écouter, recueillir vos besoins et attentes et rendre compte.. » dira t’elle en substance.
Opportunité saisie par les autorités de la région, les chefs coutumiers et le porte parole des communautés déguerpies qui ont tiré la sonnette d’alarme sur les difficultés consécutives à la sortie massive des infiltrés. Ainsi le surpeuplement subite des 22 villages riverains provoque une grave insuffisance en infrastructures sanitaires de base, une pénurie alimentaire, un accroissement des risques d’épidémie et un sentiment d’insécurité grandissant.
La Ministre de la Solidarité qui conduisait une forte délégation composée de responsables d’ONG présentes en Côte d’Ivoire, a rassuré les populations et promis trouver réponses à leurs sollicitations.
Créé en 1968 sur 34 000 hectares près de Douékoué, dans l’ouest de la Côte d’Ivoire, le parc du Mont Peko etait occupé, selon un recensement réalisé en 2014 par le ministère ivoirien en charge de la Famille par 20 622 planteurs dont 96% sont étrangers (qualifiés d’ « infiltrés »),
Après une première tentative lancée en 2013 où certains de ces « infiltrés » ont été évacués et relogés dans des habitations à proximité du parc, Le gouvernement déterminé à les deguerpir pour se conformer à ses engagements internationaux en matière de protection de la biodiversité a adopté le 7 juillet un ordre de libération de la forêt et de ses environs sur 4 kilomètres, à respecter pour le 30 juillet au plus tard.
FD