Abidjan – Le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman, a ouvert la première édition des Grandes conférences de la Culture par une table ronde sur le thème « l’Ivoirien nouveau, mythe ou réalité ».
Les participants, Venance Konan, directeur général du quotidien Fraternité Matin, l’Abbé Abekan Norbert et le chef d’antenne de la radio Al Bayane, El Hadj Diabaté Foussény ont convenu que l’avènement de l’Ivoirien nouveau passe par l’éducation et un changement de mentalité.
Pour Maurice Bandaman, l’Ivoirien nouveau prôné par le président de la République est « un citoyen travailleur, consciencieux, discipliné, rigoureux, engagé à servir de modèle, préparé à affronter les enjeux d’un monde nouveau en construction et qui bouge ».
Toutefois, « l’Ivoirien nouveau sera celui que l’on aura semé », a tempéré Venance Konan. Son avènement doit se faire par une rupture avec le passé dans un projet et une vision clairement définie et non par un simple slogan, a prévenu Diabaté Foussény. Pour Norbert Abekan, il s’agira d’amener à une prise de conscience par l’éducation, dès le bas âge.
Citant les exemples du Rwanda et du Ghana, Maurice Bandaman a indiqué que la Côte d’Ivoire n’a pas besoin de passer par les traumatismes qu’ils ont subi mais que ce projet est réalisable ici et maintenant si chacun accepte d’adopter l’attitude qui convient.
(AIP)
aaa/akn/kam
Les participants, Venance Konan, directeur général du quotidien Fraternité Matin, l’Abbé Abekan Norbert et le chef d’antenne de la radio Al Bayane, El Hadj Diabaté Foussény ont convenu que l’avènement de l’Ivoirien nouveau passe par l’éducation et un changement de mentalité.
Pour Maurice Bandaman, l’Ivoirien nouveau prôné par le président de la République est « un citoyen travailleur, consciencieux, discipliné, rigoureux, engagé à servir de modèle, préparé à affronter les enjeux d’un monde nouveau en construction et qui bouge ».
Toutefois, « l’Ivoirien nouveau sera celui que l’on aura semé », a tempéré Venance Konan. Son avènement doit se faire par une rupture avec le passé dans un projet et une vision clairement définie et non par un simple slogan, a prévenu Diabaté Foussény. Pour Norbert Abekan, il s’agira d’amener à une prise de conscience par l’éducation, dès le bas âge.
Citant les exemples du Rwanda et du Ghana, Maurice Bandaman a indiqué que la Côte d’Ivoire n’a pas besoin de passer par les traumatismes qu’ils ont subi mais que ce projet est réalisable ici et maintenant si chacun accepte d’adopter l’attitude qui convient.
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