Le ministère de l’environnement a procédé, vendredi, à Abidjan-Cocody, au lancement du projet de modélisation et de planification de la stratégie de développement à faible émissions en Afrique (LEDS) à travers un atelier de cadrage qui va permettre d’identifier des actions concrètes à mener sur le terrain.
Pour le lancement de la phase pilote, l’Union Européenne qui a bien voulu financer le projet a choisi trois pays pilotes dont la Côte d’Ivoire, le Cameroun et la RD Congo.
La phase pilote des activités LEDS en Afrique aidera les pays pilotes à développer des connaissances et de l’expertise locale pour formuler, mettre en place les capacités institutionnelles nécessaires et mettre en œuvre des politiques et des actions concrètes pour un développement à faible émission de gaz à effet de serre.
L’atelier va permettre de renforcer les capacités nationales afin de développer des compétences pour ce type d’approche sur comment allier économie et initiative climat. Il s’agit également de mobiliser l’ensemble des acteurs autours du défi climatique en Côte d’Ivoire afin de trouver un cadre global d’intervention en commun.
Selon le Dr. Alain Serge Kouadio, directeur de l’économie verte au ministère de l’environnement, il s’agit d’un grand défi pour les différends pays sélectionnés. « On observe les effets du climat aujourd’hui sur les populations que ce soit sur l’insécurité alimentaire, sur l’inondation ou sur la pollution de l’air » a-t-il déploré.
Cependant, en tant que point focal du projet LEDS pour la Côte d’Ivoire, il a assuré que le pays s’engage à voir les efforts qu’il peut consentir dans chacun de ces secteurs au travers d’initiatives sur comment faire de l’agriculture sans déforestation, comment valoriser les déchets et comment préserver nos ressources en eau.
Quant au représentant du ministre de l’environnement, Parfait Kouadio, il a exprimé sa fierté sur la participation de la Côte d’Ivoire à ce projet pilote, saluant une rencontre qui va permettre d’affuter leur fusion et leur approche de ce secteur.
« L’Afrique est le continent qui émet le moins de gaz à effet de serre mais est le plus vulnérable aux effets du changement climatique. En Côte d’Ivoire les secteurs les plus vulnérables sont l’agriculture, l’électricité et les activités des zones côtières. Pour faire face à toutes ces difficultés et dans le but de contribuer à la réduction des gaz à effets de serre, la Côte d’Ivoire a pris une part active à la COP 21 en décembre dernier à Paris » a-t-il souligné, invitant au renforcement de coopérations des acteurs afin de permettre une mutualisation des efforts.
Le projet LEDS est une stratégie de développement bas carbone qu’un pays adopte pour allier les initiatives climat et la stratégie de développement écologique de façon classique.
L’Afrique est une région très vulnérable aux changements climatiques et devrait considérablement bénéficier de la mise en œuvre des actions climatiques transformationnelles mis en avant dans l’accord de la COP 21 de Paris de décembre 2015.
Atapointe
Pour le lancement de la phase pilote, l’Union Européenne qui a bien voulu financer le projet a choisi trois pays pilotes dont la Côte d’Ivoire, le Cameroun et la RD Congo.
La phase pilote des activités LEDS en Afrique aidera les pays pilotes à développer des connaissances et de l’expertise locale pour formuler, mettre en place les capacités institutionnelles nécessaires et mettre en œuvre des politiques et des actions concrètes pour un développement à faible émission de gaz à effet de serre.
L’atelier va permettre de renforcer les capacités nationales afin de développer des compétences pour ce type d’approche sur comment allier économie et initiative climat. Il s’agit également de mobiliser l’ensemble des acteurs autours du défi climatique en Côte d’Ivoire afin de trouver un cadre global d’intervention en commun.
Selon le Dr. Alain Serge Kouadio, directeur de l’économie verte au ministère de l’environnement, il s’agit d’un grand défi pour les différends pays sélectionnés. « On observe les effets du climat aujourd’hui sur les populations que ce soit sur l’insécurité alimentaire, sur l’inondation ou sur la pollution de l’air » a-t-il déploré.
Cependant, en tant que point focal du projet LEDS pour la Côte d’Ivoire, il a assuré que le pays s’engage à voir les efforts qu’il peut consentir dans chacun de ces secteurs au travers d’initiatives sur comment faire de l’agriculture sans déforestation, comment valoriser les déchets et comment préserver nos ressources en eau.
Quant au représentant du ministre de l’environnement, Parfait Kouadio, il a exprimé sa fierté sur la participation de la Côte d’Ivoire à ce projet pilote, saluant une rencontre qui va permettre d’affuter leur fusion et leur approche de ce secteur.
« L’Afrique est le continent qui émet le moins de gaz à effet de serre mais est le plus vulnérable aux effets du changement climatique. En Côte d’Ivoire les secteurs les plus vulnérables sont l’agriculture, l’électricité et les activités des zones côtières. Pour faire face à toutes ces difficultés et dans le but de contribuer à la réduction des gaz à effets de serre, la Côte d’Ivoire a pris une part active à la COP 21 en décembre dernier à Paris » a-t-il souligné, invitant au renforcement de coopérations des acteurs afin de permettre une mutualisation des efforts.
Le projet LEDS est une stratégie de développement bas carbone qu’un pays adopte pour allier les initiatives climat et la stratégie de développement écologique de façon classique.
L’Afrique est une région très vulnérable aux changements climatiques et devrait considérablement bénéficier de la mise en œuvre des actions climatiques transformationnelles mis en avant dans l’accord de la COP 21 de Paris de décembre 2015.
Atapointe