Le service de coordination des structures éducatives de base et celle des Cppe et Cace, a présenté à sa tutelle, le mardi 9 août 2016 à l’hôtel du district d’Abidjan-Plateau, le bilan de ses activités 2015-2016. Lors des échanges qui se sont déroulés en présence de la ministre Yao Euphrasie, le plan d’actions des agents a été renforcé.
Dynamisme débordant, ambiance bon chic bon genre, telle est l’atmosphère qui a prévalue dans la salle Emmanuel Dioulo, comblée par les agents du secteur éducation de la petite enfance, du Ministère de la Promotion de la Femme, de la Famille et de l’Enfant (MPFFPE).
Selon Mme Akora Arahamanta, Directrice des structures éducatives de base, l’objectif de cette rencontre était de présenter à la tutelle les activités du service de coordination, les difficultés dudit service et des structures sous tutelle et les défis et perspectives en vue de meilleures prestations.
Il ressort du bilan que les centres de protection de la petite enfance (Cppe) et les centres d’action communautaire pour l’enfance (Cace), ont accueilli au cours de cette année 14.889 enfants. A l’en croire, l’évolution de la Côte d’Ivoire impose au gouvernement d’apporter des réponses appropriées aux besoins de plus en plus croissants exprimés par les populations.
Notamment des besoins en structures de garderies d’enfants. Et ce pour permettre selon lui aux femmes d’être plus autonomes et d’occuper des postes de décision, nominatifs et électifs.
Pour la ministre Euphrasie Yao, la création de ces structures de base permet d’œuvrer à assurer non seulement le développement psychomoteur, sanitaire, nutritionnel, cognitif et socio-affectif des enfants de 0 à 6 ans, mais également de préparer ces enfants à avoir une vie scolaire épanouie.
Se prononçant sur le bilan et les doléances présentés par les agents, la ministre Yao Euphrasie, a tout d’abord salué les uns et les autres pour leur compétence et leur savoir-faire : « Je sais avec vous que des défis demeurent. Mais je dis qu’il nous faut capitaliser les opportunités actuelles pour asseoir une dynamique pérenne d’encadrement. Nous devons intensifier la communication et la sensibilisation pour permettre à de nombreux parents de connaître nos services et en faire profiter leurs enfants ».
Selon elle, des recrutements seront faits au niveau de son ministère pour travailler pour les populations à la base afin d’améliorer leurs conditions de vie, la promotion des femmes et des jeunes et la protection des enfants. Pour accroître le taux de couverture de la petite enfance qui est de 7% sur l’ensemble du territoire national, la ministre a invité les agents à aller vers les populations afin de mieux connaître les besoins de celles-ci et de trouver les moyens de les satisfaire.
O.I
Dynamisme débordant, ambiance bon chic bon genre, telle est l’atmosphère qui a prévalue dans la salle Emmanuel Dioulo, comblée par les agents du secteur éducation de la petite enfance, du Ministère de la Promotion de la Femme, de la Famille et de l’Enfant (MPFFPE).
Selon Mme Akora Arahamanta, Directrice des structures éducatives de base, l’objectif de cette rencontre était de présenter à la tutelle les activités du service de coordination, les difficultés dudit service et des structures sous tutelle et les défis et perspectives en vue de meilleures prestations.
Il ressort du bilan que les centres de protection de la petite enfance (Cppe) et les centres d’action communautaire pour l’enfance (Cace), ont accueilli au cours de cette année 14.889 enfants. A l’en croire, l’évolution de la Côte d’Ivoire impose au gouvernement d’apporter des réponses appropriées aux besoins de plus en plus croissants exprimés par les populations.
Notamment des besoins en structures de garderies d’enfants. Et ce pour permettre selon lui aux femmes d’être plus autonomes et d’occuper des postes de décision, nominatifs et électifs.
Pour la ministre Euphrasie Yao, la création de ces structures de base permet d’œuvrer à assurer non seulement le développement psychomoteur, sanitaire, nutritionnel, cognitif et socio-affectif des enfants de 0 à 6 ans, mais également de préparer ces enfants à avoir une vie scolaire épanouie.
Se prononçant sur le bilan et les doléances présentés par les agents, la ministre Yao Euphrasie, a tout d’abord salué les uns et les autres pour leur compétence et leur savoir-faire : « Je sais avec vous que des défis demeurent. Mais je dis qu’il nous faut capitaliser les opportunités actuelles pour asseoir une dynamique pérenne d’encadrement. Nous devons intensifier la communication et la sensibilisation pour permettre à de nombreux parents de connaître nos services et en faire profiter leurs enfants ».
Selon elle, des recrutements seront faits au niveau de son ministère pour travailler pour les populations à la base afin d’améliorer leurs conditions de vie, la promotion des femmes et des jeunes et la protection des enfants. Pour accroître le taux de couverture de la petite enfance qui est de 7% sur l’ensemble du territoire national, la ministre a invité les agents à aller vers les populations afin de mieux connaître les besoins de celles-ci et de trouver les moyens de les satisfaire.
O.I
