La journée de mercredi a été assez fructueuse pour l’Afrique qui a glané trois médailles de bronze grâce à la Tunisie et à l’Egypte, portant le nombre total de breloques tombées dans l’escarcelle du continent à cinq (2 en argent, 3 en bronze).
L’escrimeuse tunisienne Ines Boubakri a offert à son pays sa première médaille olympique à Rio, le bronze en fleuret individuel. Après avoir successivement dominé l’Egyptienne Noura Mohamed, la Japonaise Shiho Nishioka, la Canadienne Eleanor Harvey, elle a cédé face à l’Italienne Elisa Di Francisca en demi-finales.
Mais elle a eu suffisamment de force pour battre la Russe Aida Shanaeva (14-11) et s'adjuger la médaille de bronze, la première d’une athlète africaine mais la deuxième de l’histoire de l’escrime africain après la médaille d’argent remportée aux JO de Londres en 2012 par l’Egyptien Alaaeldin Abouelkassem, en fleuret individuel.
Quart de finaliste à Londres et médaillée de bronze aux Mondiaux de 2014, la fleuriste tunisienne confirme et franchit ainsi un nouveau palier.
A côté de l’escrime, l’autre motif de satisfaction de la journée est venu de l’haltérophilie où l’Egypte a remporté deux médailles de bronze. D’abord par Sarah Ahmed, une jeune Egyptienne de 18 ans, qui, avec 255 points, s’est classée 3ème derrière la Chinoise Yanmei Xiang et la Kazakhe Zhazira Zhapparkul, chez les moins de 69 kg.
Elle est la deuxième haltérophile africaine, après la Nigériane Ruth Ogbeifo en 2000, à monter sur un podium olympique. Sarah Ahmed enrichit ainsi son palmarès puisqu’elle avait remporté l’or aux Jeux olympiques de la Jeunesse de Nanjing en 2014.
Ensuite, Mohamed Mahmoud a aussi remporté le bronze chez les moins de 69 kg chez les hommes en accumulant 361 points, derrière le Kazakh Nijat Rahimov et le Chinois Xiaojun Lyu. L’Egyptien est un habitué des podiums puisqu’il a remporté l’argent aux Mondiaux 2014 et le bronze aux Mondiaux 2015.
Ces trois nouvelles médailles de bronze viennent s’ajouter à celles en argent remportées par les nageurs sud-africains Cameron van der Burgh au 100 m brasse messieurs et Chad Le Clos au 200m nage libre.
Mais l’Afrique est encore dans l’attente de son premier or olympique à Rio.
BD/od/APA
L’escrimeuse tunisienne Ines Boubakri a offert à son pays sa première médaille olympique à Rio, le bronze en fleuret individuel. Après avoir successivement dominé l’Egyptienne Noura Mohamed, la Japonaise Shiho Nishioka, la Canadienne Eleanor Harvey, elle a cédé face à l’Italienne Elisa Di Francisca en demi-finales.
Mais elle a eu suffisamment de force pour battre la Russe Aida Shanaeva (14-11) et s'adjuger la médaille de bronze, la première d’une athlète africaine mais la deuxième de l’histoire de l’escrime africain après la médaille d’argent remportée aux JO de Londres en 2012 par l’Egyptien Alaaeldin Abouelkassem, en fleuret individuel.
Quart de finaliste à Londres et médaillée de bronze aux Mondiaux de 2014, la fleuriste tunisienne confirme et franchit ainsi un nouveau palier.
A côté de l’escrime, l’autre motif de satisfaction de la journée est venu de l’haltérophilie où l’Egypte a remporté deux médailles de bronze. D’abord par Sarah Ahmed, une jeune Egyptienne de 18 ans, qui, avec 255 points, s’est classée 3ème derrière la Chinoise Yanmei Xiang et la Kazakhe Zhazira Zhapparkul, chez les moins de 69 kg.
Elle est la deuxième haltérophile africaine, après la Nigériane Ruth Ogbeifo en 2000, à monter sur un podium olympique. Sarah Ahmed enrichit ainsi son palmarès puisqu’elle avait remporté l’or aux Jeux olympiques de la Jeunesse de Nanjing en 2014.
Ensuite, Mohamed Mahmoud a aussi remporté le bronze chez les moins de 69 kg chez les hommes en accumulant 361 points, derrière le Kazakh Nijat Rahimov et le Chinois Xiaojun Lyu. L’Egyptien est un habitué des podiums puisqu’il a remporté l’argent aux Mondiaux 2014 et le bronze aux Mondiaux 2015.
Ces trois nouvelles médailles de bronze viennent s’ajouter à celles en argent remportées par les nageurs sud-africains Cameron van der Burgh au 100 m brasse messieurs et Chad Le Clos au 200m nage libre.
Mais l’Afrique est encore dans l’attente de son premier or olympique à Rio.
BD/od/APA