Aux JO de Rio 2016, les pays africains tardent glaner des médailles. Contrairement aux Etats-Unis (84 médailles dont 28 en or), à la Grande Bretagne (19 or), à la Chine (17 or) qui accumulent les médailles, le premier pays africain, l’Afrique du Sud totalisait le mardi dernier 7 médailles (1 or), quand la Côte d’Ivoire n’a encore obtenu la moindre médaille. Murielle Ahouré a été l’ombre d’elle-même.
La Côte d’Ivoire est toujours en quête de sa 1ère médaille olympique dans les JO de Rio 2016. Après plus de dix jours de compétitions, la Côte d’Ivoire à l’image de bons nombres de pays africains courent toujours après sa première médaille. Une quarantaine de pays n’ont toujours pas décroché de médaille. Contrairement aux Etats-Unis qui totalisaient au soir du mardi 16 août 2016 84 médailles dont 28 en or, de l’Angleterre, 50 médailles, de la Chine, 51 médailles, du Brésil, 11 médailles. Le premier pays africain, l’Afrique du Sud, arrive en 32 ème position avec seulement 7 médailles dont une médaille en or. L’Ethiopie, 5 médailles. La Côte d’Ivoire se classe dans le lot des mauvais élèves avec aucune médaille à son tableau de chasse.
Ta Lou désormais dans l’histoire des JO
Après sa désillusion de la finale du 100 mètres féminin le 13 août dernier, la sprinteuse ivoirienne Ta Lou Marie-Josée vise de nouveau le sacre dans ces Jeux Olympiques. Elle se relance cette nuit (mercredi au jeudi) dans le 200 mètres féminin pour tenter de décrocher le premier titre olympique de sa carrière. Mardi dernier Marie Josée Ta Lou s’est qualifiée pour la finale en terminant en tête de la course en 22’’28 devant la Bulgare, 22’’48. Elle a donc battu son record personnel sur la distance dans les JO de Rio. Médaillée ou pas, Marie Josée Ta Lou a marqué des points. Ses qualifications aux finales du 100 mètres puis 200 mètres féminins, font désormais d’elle l’une des meilleures sprinteuses au monde. Son jeune âge plaide en sa faveur pour un avenir prometteur dans l’athlétisme mondial. Contrairement à Marie-Josée Ta Lou, Murielle Ahouré et Meïté n’ont été que l’ombre d’eux-mêmes. La sprinteuse ivoirienne, Murielle Ahouré avait suscité pourtant beaucoup d’espoir chez les ivoiriens avant l’ouverture officielle des JO le 5 août 2016. Mais au grand désarroi du peuple ivoirien, elle brillera plutôt par ses contre-performances dans ces J.O 2016. Le seul sacre de la Côte d’Ivoire dans cette compétition mondiale remonte aux jeux olympiques de 1984. Avec la médaille d’argent remportée par le défunt Gabriel Tiacoh). L’ivoirien avait réalisé un chrono de 44’’54 sur 400 mètres. La première de la Côte d’Ivoire aux Jeux Olympiques.
San Aubin
La Côte d’Ivoire est toujours en quête de sa 1ère médaille olympique dans les JO de Rio 2016. Après plus de dix jours de compétitions, la Côte d’Ivoire à l’image de bons nombres de pays africains courent toujours après sa première médaille. Une quarantaine de pays n’ont toujours pas décroché de médaille. Contrairement aux Etats-Unis qui totalisaient au soir du mardi 16 août 2016 84 médailles dont 28 en or, de l’Angleterre, 50 médailles, de la Chine, 51 médailles, du Brésil, 11 médailles. Le premier pays africain, l’Afrique du Sud, arrive en 32 ème position avec seulement 7 médailles dont une médaille en or. L’Ethiopie, 5 médailles. La Côte d’Ivoire se classe dans le lot des mauvais élèves avec aucune médaille à son tableau de chasse.
Ta Lou désormais dans l’histoire des JO
Après sa désillusion de la finale du 100 mètres féminin le 13 août dernier, la sprinteuse ivoirienne Ta Lou Marie-Josée vise de nouveau le sacre dans ces Jeux Olympiques. Elle se relance cette nuit (mercredi au jeudi) dans le 200 mètres féminin pour tenter de décrocher le premier titre olympique de sa carrière. Mardi dernier Marie Josée Ta Lou s’est qualifiée pour la finale en terminant en tête de la course en 22’’28 devant la Bulgare, 22’’48. Elle a donc battu son record personnel sur la distance dans les JO de Rio. Médaillée ou pas, Marie Josée Ta Lou a marqué des points. Ses qualifications aux finales du 100 mètres puis 200 mètres féminins, font désormais d’elle l’une des meilleures sprinteuses au monde. Son jeune âge plaide en sa faveur pour un avenir prometteur dans l’athlétisme mondial. Contrairement à Marie-Josée Ta Lou, Murielle Ahouré et Meïté n’ont été que l’ombre d’eux-mêmes. La sprinteuse ivoirienne, Murielle Ahouré avait suscité pourtant beaucoup d’espoir chez les ivoiriens avant l’ouverture officielle des JO le 5 août 2016. Mais au grand désarroi du peuple ivoirien, elle brillera plutôt par ses contre-performances dans ces J.O 2016. Le seul sacre de la Côte d’Ivoire dans cette compétition mondiale remonte aux jeux olympiques de 1984. Avec la médaille d’argent remportée par le défunt Gabriel Tiacoh). L’ivoirien avait réalisé un chrono de 44’’54 sur 400 mètres. La première de la Côte d’Ivoire aux Jeux Olympiques.
San Aubin