Gagnoa- Louis-André Dakoury-Tabley, ministre des Eaux et Forêts (fils de Gagnoa) a invité vendredi à Tchèdjélet (11 km de Gagnoa), les chefs de cantons et de villages du département à "concevoir, arrêter et communiquer" une vision commune pour l'avenir de la région du Gôh.
"Il est important que vous soyez d’accord sur ce que vous voulez pour Gagnoa", a insisté Dakoury-Tabley, s’adressant à la trentaine des chefs traditionnels venus prendre part à ses côtés à Tchèdjélet, à la cérémonie officielle de remise de clefs de l’école primaire, de la maternelle et des logements de maîtres, construits dans le cadre des projets du programme présidentiel d’urgence (PPU), à hauteur pour plus de 223, 3 millions fcfa.
Il a ensuite suggéré "quand vous aurez répondu à cette question, nous aurons alors la latitude de faire ce que nous pouvons pour la région", appelant la chefferie à résoudre la problématique, concernant l’approche à avoir, pour capitaliser au profit de Gagnoa, sa présence au gouvernement.
Insistant sur la nécessité de faire le choix du développement, il a déclaré que lors d’un scrutin, le vote ne doit pas se faire en fonction de "l’affection et/ou amour" porté pour le candidat, mais des possibilités d’actes et d’actions que peut poser l’homme politique pour la localité.
dd/ask
"Il est important que vous soyez d’accord sur ce que vous voulez pour Gagnoa", a insisté Dakoury-Tabley, s’adressant à la trentaine des chefs traditionnels venus prendre part à ses côtés à Tchèdjélet, à la cérémonie officielle de remise de clefs de l’école primaire, de la maternelle et des logements de maîtres, construits dans le cadre des projets du programme présidentiel d’urgence (PPU), à hauteur pour plus de 223, 3 millions fcfa.
Il a ensuite suggéré "quand vous aurez répondu à cette question, nous aurons alors la latitude de faire ce que nous pouvons pour la région", appelant la chefferie à résoudre la problématique, concernant l’approche à avoir, pour capitaliser au profit de Gagnoa, sa présence au gouvernement.
Insistant sur la nécessité de faire le choix du développement, il a déclaré que lors d’un scrutin, le vote ne doit pas se faire en fonction de "l’affection et/ou amour" porté pour le candidat, mais des possibilités d’actes et d’actions que peut poser l’homme politique pour la localité.
dd/ask