Constance Mariam Komara est inspecteur au ministère de l’Education nationale. Elle a enseigné les Lettres pendant vingt ans. Son amour pour le livre naît de l’éducation de ses parents qui ne lui offraient que des livres comme cadeaux. Elle en fait sa passion et commence à s’initier à l’écriture dès son enfance. A l’occasion d’un Prix littéraire Isaïe Biton Koulibaly, elle devient lauréate et rentre dans le cercle des écrivains avec la publication de son œuvre « Une femme amoureuse est un orage » publié en 2003. Elle publie plus tard « Pouvoir de femme » en 2010, « Je n’attendais que toi » en 2010. « Obsession » est sa dernière publication chez les éditions Edilis. Elle obtient le Prix spécial « Yambo Ovoleguem » du Mali en 2012.
« Obsession » est une nouvelle de 15 histoires qui aborde plusieurs thèmes de la vie dans lesquelles les lecteurs se reconnaîtront certainement : l’amour, les mariages arrangés, l’insertion professionnelle, l’espoir, la fatalité, les épreuves de la vie, les déboires de la vie sociale, la corruption, les problèmes de couples etc.
En tant qu’observateur de la société, Constance Komara partage ses réflexions, ses convictions, ses idées et pensées à travers ces histoires simples, dans un vocabulaire accessible à tous. Les personnages principaux sont, bien évidemment toujours obsédés par quelque chose qu’ils s’évertuent à obtenir coûte que coûte. Il en résulte des déviations, des souffrances, des erreurs que certains paient toute leur vie. Le drame est la description de certains personnages esclaves de ce qui les obsède, pour qui la fin justifie les moyens comme cette jeune fille de la nouvelle intitulée « les attaquantes » à la page 89. Issue d’une famille modeste, elle a vendu son corps pour faciliter son insertion professionnelle jusqu’à ce qu’elle obtienne un emploi dans une banque. Son diplôme ne lui permettrait pas de gérer les grands comptes mais elle usa de subterfuges pour parvenir à ses finalités. La gestion des grands comptes permettait aux gestionnaires d’entretenir des relations sexuelles avec leurs clients nantis, de manipuler leur argent et eux-mêmes. L’auteur présente dans ce texte des filles esclaves du matériel, de la vie superficielle qui font l’apologie de l’accumulation, l’exhibition de l’éphémère et la vanité. Un club de jeunes filles qui fait une compétition et une émulation d’exceller dans « la culture de tout ce qui brille».
L’auteur ne commente pas l’imprudence de condamner, juger ou moraliser. Elle présente plutôt ces situations et laisse le lecteur découvrir la moralité et la pertinence du message qu’elle véhicule. C’est l’une des raisons pour lesquelles ses textes sont appréciés par lecteurs et organismes de plusieurs pays qui la sollicitent fréquemment pour des communications. Quand vous aurez son livre « obsession » entre vos mains, vous partagerez certainement l’avis de ces lecteurs qui ont classé Constance Komara parmi leurs auteurs préférés et qui ne manquent presque jamais d’avoir dans leur bibliothèque toute la collection de ses publications.
Yahn AKA
Writer –Editor
yahn@yahnaka.com
www.yahnaka.com
« Obsession » est une nouvelle de 15 histoires qui aborde plusieurs thèmes de la vie dans lesquelles les lecteurs se reconnaîtront certainement : l’amour, les mariages arrangés, l’insertion professionnelle, l’espoir, la fatalité, les épreuves de la vie, les déboires de la vie sociale, la corruption, les problèmes de couples etc.
En tant qu’observateur de la société, Constance Komara partage ses réflexions, ses convictions, ses idées et pensées à travers ces histoires simples, dans un vocabulaire accessible à tous. Les personnages principaux sont, bien évidemment toujours obsédés par quelque chose qu’ils s’évertuent à obtenir coûte que coûte. Il en résulte des déviations, des souffrances, des erreurs que certains paient toute leur vie. Le drame est la description de certains personnages esclaves de ce qui les obsède, pour qui la fin justifie les moyens comme cette jeune fille de la nouvelle intitulée « les attaquantes » à la page 89. Issue d’une famille modeste, elle a vendu son corps pour faciliter son insertion professionnelle jusqu’à ce qu’elle obtienne un emploi dans une banque. Son diplôme ne lui permettrait pas de gérer les grands comptes mais elle usa de subterfuges pour parvenir à ses finalités. La gestion des grands comptes permettait aux gestionnaires d’entretenir des relations sexuelles avec leurs clients nantis, de manipuler leur argent et eux-mêmes. L’auteur présente dans ce texte des filles esclaves du matériel, de la vie superficielle qui font l’apologie de l’accumulation, l’exhibition de l’éphémère et la vanité. Un club de jeunes filles qui fait une compétition et une émulation d’exceller dans « la culture de tout ce qui brille».
L’auteur ne commente pas l’imprudence de condamner, juger ou moraliser. Elle présente plutôt ces situations et laisse le lecteur découvrir la moralité et la pertinence du message qu’elle véhicule. C’est l’une des raisons pour lesquelles ses textes sont appréciés par lecteurs et organismes de plusieurs pays qui la sollicitent fréquemment pour des communications. Quand vous aurez son livre « obsession » entre vos mains, vous partagerez certainement l’avis de ces lecteurs qui ont classé Constance Komara parmi leurs auteurs préférés et qui ne manquent presque jamais d’avoir dans leur bibliothèque toute la collection de ses publications.
Yahn AKA
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