Doh Jean, le président des Anciens combattants de la région du Guémon n’est pas content de la mairie de Duékoué, ville oû il réside. L’occupation illégale du site destiné aux anciens combattants par la mairie qui y a construit la radio locale, et l’existence d’une gare routière en est la raison. Il a exprimé son mécontentement le 10 août dernier à la rédaction de Notre Voie à Abidjan. « Personne d’autre à part les anciens combattants n’a le droit d’utiliser cette parcelle, mais pour des raisons que nous ignorons, la radio de Duékoué s’est installée sur notre terrain avec l’autorisation du maire Taï Glahou Jean, et ce, sans notre consentement. C’est une action que nous trouvons déplacée, il n’a pas de considération et manque de respect pour nous. C’est pour cette raison que nous demandons la levée de la radio et la cessation de toute autre activité sur notre parcelle », s’est plaint cet ancien combattant dont la parcelle est située entre la mairie, la sous-préfecture et le Trésor de Duékoué.
Il a indiqué avoir par deux fois, tenté d’avoir une audience avec le maire Taï Glahou Jean, mais : « j’ai a été foutu dehors comme un inconnu, comme une vulgaire personne, tout comme pour son secrétaire, et pendant un an, je lui ai adressé des courriers, en vain, il ne m’a pas répondu », révèle le président des Anciens combattants du Guémon.
Joint, le lundi 22 août, par téléphone, le maire a reconnu qu’il était informé de la construction de la radio sur la parcelle des anciens combattants, mais, il estime que celle-ci est sur le site communal. Cependant, il reproche à Doh Jean d’avoir saisi la presse, avant d’ajouter qu’il n’a pas refusé de recevoir l’ancien combattant, ce sont des contrevérités. « La seule fois où le doyen Doh Jean est arrivé à mon bureau, c’était pendant l’élection au poste qu’il occupe actuellement. Si le mécontentement des anciens combattants doit faire la une des médias, alors cette affaire n’ira nulle part », a réagi le maire.
Dans le cadre de la réhabilitation de leur site, les anciens combattants ont sollicité l’aide de l’Assemblée nationale, du ministère de la défense et des autorités municipales de Duékoué. Toutes ces tentatives se sont avérées infructueuses. Au lieu de réhabiliter les bureaux de vaillants combattants qui sont actuellement en ruine, le site fait office de gare routière, en plus de la radio qui s’y trouve déjà.
TUO Ali et Rachelle GOHOURE ( Stagiaires)
Il a indiqué avoir par deux fois, tenté d’avoir une audience avec le maire Taï Glahou Jean, mais : « j’ai a été foutu dehors comme un inconnu, comme une vulgaire personne, tout comme pour son secrétaire, et pendant un an, je lui ai adressé des courriers, en vain, il ne m’a pas répondu », révèle le président des Anciens combattants du Guémon.
Joint, le lundi 22 août, par téléphone, le maire a reconnu qu’il était informé de la construction de la radio sur la parcelle des anciens combattants, mais, il estime que celle-ci est sur le site communal. Cependant, il reproche à Doh Jean d’avoir saisi la presse, avant d’ajouter qu’il n’a pas refusé de recevoir l’ancien combattant, ce sont des contrevérités. « La seule fois où le doyen Doh Jean est arrivé à mon bureau, c’était pendant l’élection au poste qu’il occupe actuellement. Si le mécontentement des anciens combattants doit faire la une des médias, alors cette affaire n’ira nulle part », a réagi le maire.
Dans le cadre de la réhabilitation de leur site, les anciens combattants ont sollicité l’aide de l’Assemblée nationale, du ministère de la défense et des autorités municipales de Duékoué. Toutes ces tentatives se sont avérées infructueuses. Au lieu de réhabiliter les bureaux de vaillants combattants qui sont actuellement en ruine, le site fait office de gare routière, en plus de la radio qui s’y trouve déjà.
TUO Ali et Rachelle GOHOURE ( Stagiaires)