Des experts ivoiriens ont plaidé mardi à Abidjan pour une dynamique agricole "percutante" en vue de renforcer la sécurité alimentaire dans le pays.
"La lutte contre l’insécurité alimentaire se présente comme un défi dans notre pays. Il convient d’intensifier les échanges entre acteurs et multiplier les actions concrètes afin d’instaurer une nouvelle dynamique", a noté le directeur du Réseau national de la production vivrière Jérémie Kassia lors d’un atelier.
Pour M. Kassia, l’amélioration de la quantité et celle de la qualité des produits agricoles doivent se conjuguer.
M. Kassia a également exhorté les femmes ivoiriennes à donner un coup de fouet à la culture vivrière en œuvrant à l’accroissement de leur production.
"Les besoins alimentaires se posent aussi en termes de problèmes de semences, et de matériels agricoles. Il faut prendre les dispositions pour que la Côte d’Ivoire parvienne à une production substantielle", a -t-il recommandé.
Pour sa part, la présidente de l’Organisation féminine pour la promotion du vivrier Françoise Ta Lou a noté que la crise post-électorale qui a secoué le pays et les changements climatiques ont eu un impact négatif sur la situation alimentaire.
"Il urge de prendre la question avec responsabilité et engagement et trouver les solutions idoines avec en première ligne les femmes du vivrier", a noté Mme Ta Lou.
Dans leur détermination à atteindre l’autosuffisance alimentaire, les autorités et les experts ivoiriens misent sur le riz, céréale de grande consommation qui occupe une place de choix dans les habitudes alimentaires dans le pays.
Le gouvernement ivoirien, à travers l’Office national de développement du riz, a élaboré une stratégie nationale de développement de la riziculture sur la période 2012-2020, en vue de satisfaire, dès 2016, l’ensemble des besoins de consommation nationale en riz blanchi de bonne qualité.
Le coût total du projet s’élève à 672 milliards de FCFA à mobiliser sur la période 2012-2016 à travers le Fonds de développement de la riziculture, les apports des partenaires au développement et ceux du secteur privé.
La lutte contre l’insécurité alimentaire se présente comme un défi en Côte d’Ivoire où les autorités et les experts tentent de conjuguer leurs efforts.
Les autorités ivoiriennes appuyées par des organismes internationaux s’attèlent ainsi à trouver des stratégies pour mettre les populations à l’abri de l’insécurité alimentaire.
"La lutte contre l’insécurité alimentaire se présente comme un défi dans notre pays. Il convient d’intensifier les échanges entre acteurs et multiplier les actions concrètes afin d’instaurer une nouvelle dynamique", a noté le directeur du Réseau national de la production vivrière Jérémie Kassia lors d’un atelier.
Pour M. Kassia, l’amélioration de la quantité et celle de la qualité des produits agricoles doivent se conjuguer.
M. Kassia a également exhorté les femmes ivoiriennes à donner un coup de fouet à la culture vivrière en œuvrant à l’accroissement de leur production.
"Les besoins alimentaires se posent aussi en termes de problèmes de semences, et de matériels agricoles. Il faut prendre les dispositions pour que la Côte d’Ivoire parvienne à une production substantielle", a -t-il recommandé.
Pour sa part, la présidente de l’Organisation féminine pour la promotion du vivrier Françoise Ta Lou a noté que la crise post-électorale qui a secoué le pays et les changements climatiques ont eu un impact négatif sur la situation alimentaire.
"Il urge de prendre la question avec responsabilité et engagement et trouver les solutions idoines avec en première ligne les femmes du vivrier", a noté Mme Ta Lou.
Dans leur détermination à atteindre l’autosuffisance alimentaire, les autorités et les experts ivoiriens misent sur le riz, céréale de grande consommation qui occupe une place de choix dans les habitudes alimentaires dans le pays.
Le gouvernement ivoirien, à travers l’Office national de développement du riz, a élaboré une stratégie nationale de développement de la riziculture sur la période 2012-2020, en vue de satisfaire, dès 2016, l’ensemble des besoins de consommation nationale en riz blanchi de bonne qualité.
Le coût total du projet s’élève à 672 milliards de FCFA à mobiliser sur la période 2012-2016 à travers le Fonds de développement de la riziculture, les apports des partenaires au développement et ceux du secteur privé.
La lutte contre l’insécurité alimentaire se présente comme un défi en Côte d’Ivoire où les autorités et les experts tentent de conjuguer leurs efforts.
Les autorités ivoiriennes appuyées par des organismes internationaux s’attèlent ainsi à trouver des stratégies pour mettre les populations à l’abri de l’insécurité alimentaire.