Abidjan - Le directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), Erik Solheim et le ministre ivoirien de l’Environnement et du Développement durable, Dr Allah Kouadio Remi, ont procédé, jeudi, à Abidjan, au lancement du projet pour l’amélioration de la gestion intégrée et la protection des parcs nationaux ivoirien, le Parc national du Banco servant de site pilote.
Au cours de la cérémonie, le ministre Allah Kouadio Remi a expliqué l’intérêt pour le gouvernement d’œuvrer à la protection du Parc national du Banco (PNB), situé au cœur d’Abidjan, la « vitrine » du réseau national des aires protégées.
« Ce Parc avec une superficie estimée à 3 474 ha constitue le sanctuaire d’une trentaine de végétaux en voie de disparition en Afrique de l’ouest. Il demeure, à ce jour, l’unique patrimoine forestier de l’Etat doté d’un titre foncier et occupe une position stratégique dans le réseau des aires protégées de notre pays », a indiqué Dr Allah à l’espace acoustique de ce parc, soulignant son ambition de faire des aires protégées « des pôles de développement » combinant plusieurs activités économiques.
Selon le directeur exécutif du PNUE, Erik Solheim, le Parc national du banco situé au sein d’une agglomération de plus de six millions d’habitants est une véritable « bénédiction ». Ce parc qu’il qualifie de « poumon naturel dégage un air naturel qui fait du bien à l’être humain ». « Nous les êtres humains, nous devons être bons envers la mère nature », a recommandé le responsable des Nations unies après une visite guidée du site.
Ce projet de gestion intégrée des aires protégées de Côte d’Ivoire se veut le fruit des bonnes relations de coopération entre la Côte d’Ivoire et le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM), indiquent les organisateurs.
bsb/aaa/ask
Au cours de la cérémonie, le ministre Allah Kouadio Remi a expliqué l’intérêt pour le gouvernement d’œuvrer à la protection du Parc national du Banco (PNB), situé au cœur d’Abidjan, la « vitrine » du réseau national des aires protégées.
« Ce Parc avec une superficie estimée à 3 474 ha constitue le sanctuaire d’une trentaine de végétaux en voie de disparition en Afrique de l’ouest. Il demeure, à ce jour, l’unique patrimoine forestier de l’Etat doté d’un titre foncier et occupe une position stratégique dans le réseau des aires protégées de notre pays », a indiqué Dr Allah à l’espace acoustique de ce parc, soulignant son ambition de faire des aires protégées « des pôles de développement » combinant plusieurs activités économiques.
Selon le directeur exécutif du PNUE, Erik Solheim, le Parc national du banco situé au sein d’une agglomération de plus de six millions d’habitants est une véritable « bénédiction ». Ce parc qu’il qualifie de « poumon naturel dégage un air naturel qui fait du bien à l’être humain ». « Nous les êtres humains, nous devons être bons envers la mère nature », a recommandé le responsable des Nations unies après une visite guidée du site.
Ce projet de gestion intégrée des aires protégées de Côte d’Ivoire se veut le fruit des bonnes relations de coopération entre la Côte d’Ivoire et le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM), indiquent les organisateurs.
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