Le directeur général des marchés publics en Côte d'Ivoire, Yacouba Coulibaly a indiqué lundi que "336 marchés ont été passés" en trois ans dans le cadre du contrat de désendettement et de développement (C2D) pour un montant de "288 milliards Fcfa", à l’ouverture d’un atelier de formation et de sensibilisation à Abidjan.
"De 2013 à nos jours c’est au total 336 marchés qui ont été passés pour un volume de 288 milliards Fcfa avec un taux de décaissement global de 39,5%", a dit M. Coulibaly, devant les acteurs de passation de marchés publics du C2D.
"Ces résultats obtenus en moins de quatre ans sont le produit d’un travail collectif et d’équipe de l’ensemble des travailleurs du C2D", a-t-il ajouté.
En 2012, la Côte d’Ivoire et la France ont signé à Paris un accord bilatéral d’annulation de la dette ivoirienne. La signature de cet accord est l’une des retombées du point d’achèvement de l’initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE, en 2009).
Cet accord a permis la mise en place d’un premier C2D entre les deux pays qui est un mécanisme d’annulation des créances d’aide publique au développement (APD) mis en œuvre par l’Agence française de développement, qui octroie un financement par subvention des échéances de la dette remboursée de la Côte d’Ivoire.
Ainsi, en trois ans, "351 milliards Fcfa" ont-ils été décaissés sur "les 413 milliards prévus pour le premier C2D soit un taux de décaissement de 85%", a annoncé dans son discours, Théophile Ahoua N’doli, directeur de cabinet du Premier ministre ivoirien.
Selon M. N’Doli, par ailleurs président du comité technique du C2D, ces financements ont permis "la réalisation de projet de développement et la lutte contre la pauvreté" dans les secteurs notamment de l’éducation, la santé, l’agriculture sur l’ensemble du territoire national.
D’un montant de 738 milliards Fcfa, un second C2D signé en décembre 2014 concernant la période de 2014-2020, prendra également en compte les mêmes secteurs.
Cet atelier de formation prend fin mercredi et devrait aider les acteurs concernés à s’approprier "les nouvelles dispositions règlementaires des marchés publics et la maitrise des procédures de passation de marché du C2D", selon le comité technique.
LIB
"De 2013 à nos jours c’est au total 336 marchés qui ont été passés pour un volume de 288 milliards Fcfa avec un taux de décaissement global de 39,5%", a dit M. Coulibaly, devant les acteurs de passation de marchés publics du C2D.
"Ces résultats obtenus en moins de quatre ans sont le produit d’un travail collectif et d’équipe de l’ensemble des travailleurs du C2D", a-t-il ajouté.
En 2012, la Côte d’Ivoire et la France ont signé à Paris un accord bilatéral d’annulation de la dette ivoirienne. La signature de cet accord est l’une des retombées du point d’achèvement de l’initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE, en 2009).
Cet accord a permis la mise en place d’un premier C2D entre les deux pays qui est un mécanisme d’annulation des créances d’aide publique au développement (APD) mis en œuvre par l’Agence française de développement, qui octroie un financement par subvention des échéances de la dette remboursée de la Côte d’Ivoire.
Ainsi, en trois ans, "351 milliards Fcfa" ont-ils été décaissés sur "les 413 milliards prévus pour le premier C2D soit un taux de décaissement de 85%", a annoncé dans son discours, Théophile Ahoua N’doli, directeur de cabinet du Premier ministre ivoirien.
Selon M. N’Doli, par ailleurs président du comité technique du C2D, ces financements ont permis "la réalisation de projet de développement et la lutte contre la pauvreté" dans les secteurs notamment de l’éducation, la santé, l’agriculture sur l’ensemble du territoire national.
D’un montant de 738 milliards Fcfa, un second C2D signé en décembre 2014 concernant la période de 2014-2020, prendra également en compte les mêmes secteurs.
Cet atelier de formation prend fin mercredi et devrait aider les acteurs concernés à s’approprier "les nouvelles dispositions règlementaires des marchés publics et la maitrise des procédures de passation de marché du C2D", selon le comité technique.
LIB