Un Atelier de vulgarisation de la Carte d’Identité du Réfugié (CIR) auprès des Etablissements financiers et des Structures administratives s’est ouvert ce jeudi, à Abidjan, en présence du ministre des Affaires étrangères, Albert Mabri Toikeusse, du Représentant résident du Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR), Mohamed Touré Asquiat et du Cordonnateur du Service Autonome d’Aide aux Réfugiés et Apatrides (SAARA), le Docteur Kouamé Kouakou Lacina.
Il s’agit à travers cet Atelier, outre présenter la CIR aux responsables d’Etablissement financiers et de structures administratives, de montrer l’importance de cette carte pour le réfugié. Mais surtout d’indiquer à toutes fins utiles que la CIR est aussi valable que n’importe quelle carte d’identité, Ce d’autant plus qu’elle est produite par l’Office National d’Identification (ONI) en collaboration avec le HCR. Et elle présente toutes les garanties sécuritaires en la matière.
Le Représentant résident du HCR, Mohamed Touré Asquiat a insisté sur la nécessité de poursuivre la sensibilisation sur l’importance de la Carte d’identité de Réfugié. Il a interpellé l’opinion sur le statut du réfugié, à qui la CIR confère tous les droits contenus dans la déclaration universelle des droits de l’Homme.
« Nous avons le devoir de donner droit aux attentes des réfugiés », a affirmé le ministre des Affaires étrangères, Albert Mabri Toikeusse. Pour le chef de la diplomatie ivoirienne, « des efforts restent à faire pour donner toute autorité à la Carte d’Identité du Réfugié, qui à une validité de 5ans ». Il a rassuré sur le fait que « la production de la CIR est entourée des garanties de sécurité les plus modernes ».
La Côte d’Ivoire enregistre officiellement 1900 réfugiés sur son territoire, dont plus de 70% possèdent la carte d’Identité de Réfugié, a fait savoir le Docteur Kouamé Kouakou Lacina.
Elisée B.
Il s’agit à travers cet Atelier, outre présenter la CIR aux responsables d’Etablissement financiers et de structures administratives, de montrer l’importance de cette carte pour le réfugié. Mais surtout d’indiquer à toutes fins utiles que la CIR est aussi valable que n’importe quelle carte d’identité, Ce d’autant plus qu’elle est produite par l’Office National d’Identification (ONI) en collaboration avec le HCR. Et elle présente toutes les garanties sécuritaires en la matière.
Le Représentant résident du HCR, Mohamed Touré Asquiat a insisté sur la nécessité de poursuivre la sensibilisation sur l’importance de la Carte d’identité de Réfugié. Il a interpellé l’opinion sur le statut du réfugié, à qui la CIR confère tous les droits contenus dans la déclaration universelle des droits de l’Homme.
« Nous avons le devoir de donner droit aux attentes des réfugiés », a affirmé le ministre des Affaires étrangères, Albert Mabri Toikeusse. Pour le chef de la diplomatie ivoirienne, « des efforts restent à faire pour donner toute autorité à la Carte d’Identité du Réfugié, qui à une validité de 5ans ». Il a rassuré sur le fait que « la production de la CIR est entourée des garanties de sécurité les plus modernes ».
La Côte d’Ivoire enregistre officiellement 1900 réfugiés sur son territoire, dont plus de 70% possèdent la carte d’Identité de Réfugié, a fait savoir le Docteur Kouamé Kouakou Lacina.
Elisée B.