Le ministère ivoirien des Affaires étrangères a annoncé jeudi à Abidjan que la Côte d'Ivoire comptait officiellement 1.900 réfugiés sur son territoire, dont plus de 70% possèdent la carte d'identité de réfugié (CIR).
Le coordinateur du Service autonome d'aide aux réfugiés et apatrides (SAARA) du ministère, Kouamé Kouakou Lacina, a fait part à ce sujet de la volonté des autorités d'identifier "de manière efficace" les réfugiés vivant dans le pays.
"L'identification des réfugiés doit être entourée des garanties de sécurité les plus modernes", a-t-il préconisé. M. Lacina a ainsi exhorté les réfugiés installés sur le territoire ivoirien à se présenter dans les zones d'accueil pour recevoir leur carte.
Le représentant résident du Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), Mohamed Touré Asquiat, a insisté sur la nécessité de poursuivre la sensibilisation sur l'importance de la CIR. Il a interpellé l'opinion sur le statut du réfugié, à qui la carte confère tous les droits contenus dans la Déclaration universelle des droits de l'Homme.
"Nous avons le devoir de donner droit aux attentes des réfugiés", a soutenu pour sa part le ministre des Affaires étrangères, Albert Toikeusse Mabri.
Le gouvernement ivoirien et ses partenaires humanitaires multiplient les initiatives pour une amélioration des conditions des réfugiés vivant sur le sol ivoirien. Pour les responsables du HCR, les documents d'identification des réfugiés permettront une plus grande protection de ceux-ci.
La Côte d'Ivoire a accueilli plusieurs milliers de réfugiés au plus fort des conflits dans des pays limitrophes.
Après plus de vingt ans de présence en Côte d'Ivoire, de nombreux réfugiés libériens ont pour la plupart pu regagner leur pays, "rassurés par la normalisation", grâce aux opérations de rapatriement et d'assistance du HCR et du SAARA.
Le coordinateur du Service autonome d'aide aux réfugiés et apatrides (SAARA) du ministère, Kouamé Kouakou Lacina, a fait part à ce sujet de la volonté des autorités d'identifier "de manière efficace" les réfugiés vivant dans le pays.
"L'identification des réfugiés doit être entourée des garanties de sécurité les plus modernes", a-t-il préconisé. M. Lacina a ainsi exhorté les réfugiés installés sur le territoire ivoirien à se présenter dans les zones d'accueil pour recevoir leur carte.
Le représentant résident du Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), Mohamed Touré Asquiat, a insisté sur la nécessité de poursuivre la sensibilisation sur l'importance de la CIR. Il a interpellé l'opinion sur le statut du réfugié, à qui la carte confère tous les droits contenus dans la Déclaration universelle des droits de l'Homme.
"Nous avons le devoir de donner droit aux attentes des réfugiés", a soutenu pour sa part le ministre des Affaires étrangères, Albert Toikeusse Mabri.
Le gouvernement ivoirien et ses partenaires humanitaires multiplient les initiatives pour une amélioration des conditions des réfugiés vivant sur le sol ivoirien. Pour les responsables du HCR, les documents d'identification des réfugiés permettront une plus grande protection de ceux-ci.
La Côte d'Ivoire a accueilli plusieurs milliers de réfugiés au plus fort des conflits dans des pays limitrophes.
Après plus de vingt ans de présence en Côte d'Ivoire, de nombreux réfugiés libériens ont pour la plupart pu regagner leur pays, "rassurés par la normalisation", grâce aux opérations de rapatriement et d'assistance du HCR et du SAARA.