Abidjan – Le ministre de l’Agriculture et du Développement Rural, Mamadou Coulibaly Sangofowa a affirmé, jeudi, à l’ouverture de la quatrième conférence sur la chaîne des valeurs de l’huile de palme africaine à Abidjan, que l’huile de palme répond mieux au défi de la sécurité alimentaire.
"Malgré les controverses dont elle est l’objet, l’huile de palme qui combine l’avantage d’un prix très compétitif à un besoin plus faible en terres que les huiles alternatives, est bien placée pour répondre au défi de la sécurité alimentaire posé par une population croissante, tout en préservant les ressources environnementales de la planète et la santé humaine", a fait savoir le ministre ivoirien de l’agriculture.
Pour le ministre, la présente Conférence sur la chaîne des valeurs de l’huile de palme, donne non seulement l’opportunité aux acteurs et partenaires de la filière venus d’horizons divers, d’échanger sur les enjeux actuels, mais aussi de confronter leurs expériences respectives afin de promouvoir les avantages comparatifs de cette huile par rapport aux autres huiles végétales.
Plusieurs délégations venues d’Afrique, d’Asie et d’Europe participent à ces deux jours de travaux.
En 2013, au premier congrès africain de l’huile de palme (APOC) tenu à Abidjan à l’initiative du gouvernement ivoirien et de l’Association interprofessionnelle de la filière en Côte d’Ivoire (AIPH), les participants ont adopté une "déclaration d’Abidjan" pour défendre la culture du palmier à huile, contre la campagne de dénigrement, particulièrement le label "sans huile de palme" qui a prospéré ces dernières années dans les pays consommateurs, notamment en France.
kkf/akn/kam
"Malgré les controverses dont elle est l’objet, l’huile de palme qui combine l’avantage d’un prix très compétitif à un besoin plus faible en terres que les huiles alternatives, est bien placée pour répondre au défi de la sécurité alimentaire posé par une population croissante, tout en préservant les ressources environnementales de la planète et la santé humaine", a fait savoir le ministre ivoirien de l’agriculture.
Pour le ministre, la présente Conférence sur la chaîne des valeurs de l’huile de palme, donne non seulement l’opportunité aux acteurs et partenaires de la filière venus d’horizons divers, d’échanger sur les enjeux actuels, mais aussi de confronter leurs expériences respectives afin de promouvoir les avantages comparatifs de cette huile par rapport aux autres huiles végétales.
Plusieurs délégations venues d’Afrique, d’Asie et d’Europe participent à ces deux jours de travaux.
En 2013, au premier congrès africain de l’huile de palme (APOC) tenu à Abidjan à l’initiative du gouvernement ivoirien et de l’Association interprofessionnelle de la filière en Côte d’Ivoire (AIPH), les participants ont adopté une "déclaration d’Abidjan" pour défendre la culture du palmier à huile, contre la campagne de dénigrement, particulièrement le label "sans huile de palme" qui a prospéré ces dernières années dans les pays consommateurs, notamment en France.
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