Abidjan – La Côte d’Ivoire au regard de ses atouts et de l’expertise accumulée dans la filière palmier à huile ambitionne consolider sa position de leader en Afrique, et conquérir le marché international, a fait savoir le ministre de l’Agriculture et du Développement Rural, Mamadou Coulibaly Sangafowa qui s’exprimait, jeudi, à l’ouverture de la quatrième Conférence sur la chaîne des valeurs de l’huile de palme africaine qui se tient à Abidjan.
Cette ambition, a expliqué le ministre, s’est traduite par l’adhésion au processus de la Table Ronde sur l’Huile de Palme Durable (RSPO), référentiel international de durabilité de l’huile de palme, mais également l’adhésion en 2015, à l’initiative Tropical Forest Alliance 2020 (TFA 2020) sur l’huile de palme en Afrique.
Selon le ministre, l’Etat de Côte d’Ivoire a développé et conduit deux plans, qui lui ont permis de disposer aujourd’hui d’une filière relativement intégrée avec une chaîne des valeurs bien établie.
"Le 3ème plan palmier sera renforcé par la réforme, actuellement initiée par le Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural, sous l’impulsion du Président de la République. Les axes stratégiques de cette réforme viennent d’être adoptés par le gouvernement", a-t-il indiqué.
Cette réforme accorde un intérêt particulier au renforcement des capacités de tous les acteurs, à l’amélioration de la compétitivité de la filière, a commenté M. Sangafowa.
La Côte d’Ivoire dispose d’un verger de 245 000 ha dont 170 000 ha de plantations villageoises exploitées par près de 40 000 planteurs, 32 sociétés coopératives de producteurs assurant les prestations en milieu villageois et une quinzaine d’huileries de grande capacité et plus d’une quarantaine de petites et moyennes huileries avec une capacité totale de traitement de régimes de palme de 1120 T/Heures.
Avec une production moyenne annuelle d’huile de palme brute d’environ 420 000 tonnes, cinq à six unités de deuxième transformation produisent environ 350 000 tonnes d’huile raffinée par an et d’autres produits dérivés.
kkf/kam
Cette ambition, a expliqué le ministre, s’est traduite par l’adhésion au processus de la Table Ronde sur l’Huile de Palme Durable (RSPO), référentiel international de durabilité de l’huile de palme, mais également l’adhésion en 2015, à l’initiative Tropical Forest Alliance 2020 (TFA 2020) sur l’huile de palme en Afrique.
Selon le ministre, l’Etat de Côte d’Ivoire a développé et conduit deux plans, qui lui ont permis de disposer aujourd’hui d’une filière relativement intégrée avec une chaîne des valeurs bien établie.
"Le 3ème plan palmier sera renforcé par la réforme, actuellement initiée par le Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural, sous l’impulsion du Président de la République. Les axes stratégiques de cette réforme viennent d’être adoptés par le gouvernement", a-t-il indiqué.
Cette réforme accorde un intérêt particulier au renforcement des capacités de tous les acteurs, à l’amélioration de la compétitivité de la filière, a commenté M. Sangafowa.
La Côte d’Ivoire dispose d’un verger de 245 000 ha dont 170 000 ha de plantations villageoises exploitées par près de 40 000 planteurs, 32 sociétés coopératives de producteurs assurant les prestations en milieu villageois et une quinzaine d’huileries de grande capacité et plus d’une quarantaine de petites et moyennes huileries avec une capacité totale de traitement de régimes de palme de 1120 T/Heures.
Avec une production moyenne annuelle d’huile de palme brute d’environ 420 000 tonnes, cinq à six unités de deuxième transformation produisent environ 350 000 tonnes d’huile raffinée par an et d’autres produits dérivés.
kkf/kam