Abidjan - La ministre de la Promotion de la Femme, de la Famille, et de la Protection de l’Enfant, Euphrasie Yao Kouassi a procédé vendredi à son cabinet à Abidjan-Plateau, à son enrôlement pour la Couverture maladie universelle (CMU), appelant au passage les populations à suivre son exemple en vue de leur bien-être.
"J’invite les familles de Côte d’Ivoire à se soumettre à cet acte citoyen à l’effet de procéder à leur enrôlement pour la Couverture maladie universelle (…) en vue de l’émergence qui ne peut s’atteindre sans la santé, car la santé n’a pas de prix", a-t-elle exhorté en présence de ses collaborateurs qui lui ont emboité le pas en accomplissant le même acte.
Elle a salué cette belle initiative du gouvernement ivoirien gérée par la caisse nationale d’assurance maladie (CNAM), insistant pour une adhésion à 100% de ses collaborateurs dans toute leur composante, à l’opération.
Adoptée en mars 2014, la loi instituant la CMU la définit comme un système obligatoire de couverture du risque maladie au profit des populations résidant en Côte d’Ivoire. Le texte intègre le cadre global des efforts du gouvernement pour assurer une meilleure couverture sanitaire à tous les Ivoiriens quel que soit leur niveau de revenu.
Le système ivoirien de protection sociale se caractérise, jusqu’à présent, par un faible taux de couverture de l’ordre de 10 à 15 % de la population nationale, et un nombre limité de risques couverts, au détriment de 85 à 90% issus des milieux défavorisés, une discrimination que la réforme de la CMU entend corriger.
La CMU comprend deux régimes: un régime contributif, dénommé Régime Général de Base (RGB) financé par les cotisations des assurés dont le montant est fixé à 1.000 FCFA par mois et par personne à partir de l’âge de 5 ans. Le RGB vise la majorité de la population résidant en Côte d’Ivoire.
Le second régime non contributif, dénommé Régime d’Assistance Médicale (RAM), vise pour sa part les indigents pour lesquels l’Etat se substitue aux assurés pour le paiement des cotisations et du ticket modérateur.
gak/ask
"J’invite les familles de Côte d’Ivoire à se soumettre à cet acte citoyen à l’effet de procéder à leur enrôlement pour la Couverture maladie universelle (…) en vue de l’émergence qui ne peut s’atteindre sans la santé, car la santé n’a pas de prix", a-t-elle exhorté en présence de ses collaborateurs qui lui ont emboité le pas en accomplissant le même acte.
Elle a salué cette belle initiative du gouvernement ivoirien gérée par la caisse nationale d’assurance maladie (CNAM), insistant pour une adhésion à 100% de ses collaborateurs dans toute leur composante, à l’opération.
Adoptée en mars 2014, la loi instituant la CMU la définit comme un système obligatoire de couverture du risque maladie au profit des populations résidant en Côte d’Ivoire. Le texte intègre le cadre global des efforts du gouvernement pour assurer une meilleure couverture sanitaire à tous les Ivoiriens quel que soit leur niveau de revenu.
Le système ivoirien de protection sociale se caractérise, jusqu’à présent, par un faible taux de couverture de l’ordre de 10 à 15 % de la population nationale, et un nombre limité de risques couverts, au détriment de 85 à 90% issus des milieux défavorisés, une discrimination que la réforme de la CMU entend corriger.
La CMU comprend deux régimes: un régime contributif, dénommé Régime Général de Base (RGB) financé par les cotisations des assurés dont le montant est fixé à 1.000 FCFA par mois et par personne à partir de l’âge de 5 ans. Le RGB vise la majorité de la population résidant en Côte d’Ivoire.
Le second régime non contributif, dénommé Régime d’Assistance Médicale (RAM), vise pour sa part les indigents pour lesquels l’Etat se substitue aux assurés pour le paiement des cotisations et du ticket modérateur.
gak/ask
