L’Etat de Côte d’Ivoire vient de rejeter 123 milliards de F CFA de dette au titre des passifs ordinaires de l’administration centrale et des institutions sur la période 2001-2013. « Ce sont essentiellement des prestations réalisées au niveau de l’administration mais qui ne respectent pas les règles de gestion budgétaire classique», a expliqué Bruno Koné, ministre de l’Économie numérique et de la poste, porte-parole du gouvernement, ce mercredi 7 septembre 2016, à la conférence de presse qui a suivi le Conseil des ministres, au palais présidentiel du Plateau.
En effet, a informé le porte-parole du gouvernement, sur instruction du Premier ministre, un audit des passifs de l’Etat sur la période 2001-2013 a été diligenté par les services de l’administration financière. Le résultat de ce contrôle est chiffré à 448 milliards de F dont 356 milliards pour les passifs ordinaires de l’administration centrale et des institutions, et 92 milliards pour les baux de police et de l’administration.
Sur les 356 milliards de F des passifs ordinaires de l’administration centrale et des institutions, l’Etat vient de rejeter 123 milliards et « il y a des avis réservés sur 8 milliards de F».
Le Conseil a instruit, a poursuivi Bruno Koné, l’ensemble des ministres pour élaborer un plan d’action en vue d’apurer la dette de l’Etat sur la période 2001-2013.
D.Tagro
En effet, a informé le porte-parole du gouvernement, sur instruction du Premier ministre, un audit des passifs de l’Etat sur la période 2001-2013 a été diligenté par les services de l’administration financière. Le résultat de ce contrôle est chiffré à 448 milliards de F dont 356 milliards pour les passifs ordinaires de l’administration centrale et des institutions, et 92 milliards pour les baux de police et de l’administration.
Sur les 356 milliards de F des passifs ordinaires de l’administration centrale et des institutions, l’Etat vient de rejeter 123 milliards et « il y a des avis réservés sur 8 milliards de F».
Le Conseil a instruit, a poursuivi Bruno Koné, l’ensemble des ministres pour élaborer un plan d’action en vue d’apurer la dette de l’Etat sur la période 2001-2013.
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