Abidjan - La ministre de la solidarité, de la cohésion sociale et des victimes de guerre, Pr Koné Mariatou a appelé, mercredi, à l’aide humanitaire des Nations Unies, afin d’éloigner définitivement les populations déguerpies du parc du Mont Péko à Duékoué et de les emmener à vivre en harmonie avec celles qui les accueillent.
« Nous devons mener des actions humanitaires pour relocaliser ces populations qui sont sorties difficilement du parc afin de les amener à vivre harmonieusement avec celles qui sont à l’extérieur du parc », a exprimé la ministre, à la sortie d’une réunion avec le comité de coordination élargi (CCE) à son cabinet sis à la Riviéra.
Estimant que le surpeuplement autour du Mont Péko pose énormément de problèmes au niveau de l’alimentation, de l’éducation et de la santé, Pr Koné a prévenu que si aucune action n’est menée, les populations déguerpies sont capables d’y retourner.
Pour le coordonnateur résident des Nations unies chargées des questions humanitaires, Babacar Cissé, des actions visant à la relocalisation ont été entamées, notamment les échanges avec les autorités burkinabés afin de faciliter la réinsertion de leurs ressortissants. « La situation actuelle nécessite des efforts en matière de santé, d’éducation et de logement, des défis que nous nous évertueront à relever», a-t-il rassuré.
Cette réunion bilan sur la situation du Mont Péko, intervient un mois après la vaste opération de déguerpissement lancée le 28 juillet 2016, note-t-on.
bsb/akn/kam
« Nous devons mener des actions humanitaires pour relocaliser ces populations qui sont sorties difficilement du parc afin de les amener à vivre harmonieusement avec celles qui sont à l’extérieur du parc », a exprimé la ministre, à la sortie d’une réunion avec le comité de coordination élargi (CCE) à son cabinet sis à la Riviéra.
Estimant que le surpeuplement autour du Mont Péko pose énormément de problèmes au niveau de l’alimentation, de l’éducation et de la santé, Pr Koné a prévenu que si aucune action n’est menée, les populations déguerpies sont capables d’y retourner.
Pour le coordonnateur résident des Nations unies chargées des questions humanitaires, Babacar Cissé, des actions visant à la relocalisation ont été entamées, notamment les échanges avec les autorités burkinabés afin de faciliter la réinsertion de leurs ressortissants. « La situation actuelle nécessite des efforts en matière de santé, d’éducation et de logement, des défis que nous nous évertueront à relever», a-t-il rassuré.
Cette réunion bilan sur la situation du Mont Péko, intervient un mois après la vaste opération de déguerpissement lancée le 28 juillet 2016, note-t-on.
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