L’ouverture de la 1ère édition de la foire commerciale des institutions féminines a eu lieu le vendredi 9 septembre 2016 à Abidjan-Cocody. C’était en présence de Mme Euphrasie Yao Kouassi, ministre de la Promotion de la Femme de la Famille et de la Protection de l’Enfant.
«Notre objectif, c’est de faire de la femme le maillon essentiel de la famille, d’une part et d’autre part de la société», a déclaré Euphrasie Yao Kouassi, ministre de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’Enfant. Pour elle, les Institutions de formation et d’éducation féminine (Ifef) ont pour but d’assurer l’autonomisation des femmes, offrir aux femmes la possibilité d’acquérir des compétences sociales de base et donner une formation qualifiante dans divers métiers qui leur permettront de s’épanouir en société. A l’en croire, ce sont des formations techniques et sociales adaptées qui y sont dispensées. Il s'agit, a-telle ajouté, de l’alphabétisation, du renforcement des capacités en compétences de vie, de la gestion coopérative et de la comptabilité simplifiée. Poursuivant, elle a reconnu la seconde chance qu’offrent ces instituts aux femmes et aux filles ayant interrompu leur cursus scolaire pour diverses raisons. «Ces institutions sont pour la gent féminine des centres d’incubation », a-t-elle signifié. En véritable ambassadrice des Ifef, Euphrasie Yao Kouassi, a demandé à toutes les femmes encore sceptiques à ces institutions de venir se faire former : «on y fait des merveilles». Elle a rassuré ses dernières que sa présence à cette foire est un témoignage pour l’engagement du gouvernement à mettre tout en œuvre pour participer à l’éducation de la femme : «Ne dit-on pas que celui qui éduque une femme, éduque une nation ?», a-t-elle conclu.
Mme Yoffoua Pulcherie, restauratrice et diplômée de l’Ifef de Dimbokro a témoigné sa grande joie d’avoir bénéficié des bienfaits de cette institution. « L’Ifef a renforcé mon talent culinaire, elle m’a permis de savoir me tenir, si bien que j’ai été gouvernante chez des autorités», a-t-elle dévoilé.
N’douba Aline est propriétaire d’un atelier de couture, grâce aux Ifef. «Cet atelier me permet de m’occuper de ma famille. Aujourd’hui, je suis une femme épanouie, j’ai le respect de tout le monde, puisque je ne tends plus la main», a-t-elle indiqué. Cette cérémonie a pris fin avec une vente aux enchères de certains objets créés par les filles des Ifef. Sur toute l’étendue du territoire, l’on compte 116 Institutions de formation et d’éducation féminines.
O.R
«Notre objectif, c’est de faire de la femme le maillon essentiel de la famille, d’une part et d’autre part de la société», a déclaré Euphrasie Yao Kouassi, ministre de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’Enfant. Pour elle, les Institutions de formation et d’éducation féminine (Ifef) ont pour but d’assurer l’autonomisation des femmes, offrir aux femmes la possibilité d’acquérir des compétences sociales de base et donner une formation qualifiante dans divers métiers qui leur permettront de s’épanouir en société. A l’en croire, ce sont des formations techniques et sociales adaptées qui y sont dispensées. Il s'agit, a-telle ajouté, de l’alphabétisation, du renforcement des capacités en compétences de vie, de la gestion coopérative et de la comptabilité simplifiée. Poursuivant, elle a reconnu la seconde chance qu’offrent ces instituts aux femmes et aux filles ayant interrompu leur cursus scolaire pour diverses raisons. «Ces institutions sont pour la gent féminine des centres d’incubation », a-t-elle signifié. En véritable ambassadrice des Ifef, Euphrasie Yao Kouassi, a demandé à toutes les femmes encore sceptiques à ces institutions de venir se faire former : «on y fait des merveilles». Elle a rassuré ses dernières que sa présence à cette foire est un témoignage pour l’engagement du gouvernement à mettre tout en œuvre pour participer à l’éducation de la femme : «Ne dit-on pas que celui qui éduque une femme, éduque une nation ?», a-t-elle conclu.
Mme Yoffoua Pulcherie, restauratrice et diplômée de l’Ifef de Dimbokro a témoigné sa grande joie d’avoir bénéficié des bienfaits de cette institution. « L’Ifef a renforcé mon talent culinaire, elle m’a permis de savoir me tenir, si bien que j’ai été gouvernante chez des autorités», a-t-elle dévoilé.
N’douba Aline est propriétaire d’un atelier de couture, grâce aux Ifef. «Cet atelier me permet de m’occuper de ma famille. Aujourd’hui, je suis une femme épanouie, j’ai le respect de tout le monde, puisque je ne tends plus la main», a-t-elle indiqué. Cette cérémonie a pris fin avec une vente aux enchères de certains objets créés par les filles des Ifef. Sur toute l’étendue du territoire, l’on compte 116 Institutions de formation et d’éducation féminines.
O.R
