Les femmes productrices de manioc de la coopérative Etranoukpa de Bendressou, dans la sous-préfecture de Toumodi sont devenues autonomes, grâce à la culture de nouvelles variétés de manioc à haut rendement introduites par le PPAAO/WAAPP-Côte d’Ivoire qui leur permettent d’accroître leurs productions et leurs revenus.
Ces variétés dénommées BOUCOU 1 et YAVO sont résistantes aux maladies et aux ravageurs et génèrent un rendement élevé.
« C’est pour aider mes sœurs à tirer profit de la production du manioc que j’ai décidé qu’on s’organise en coopérative. A ce jour, nous sommes au nombre de 30 et grâce à l’appui du WAAPP, j’ai pu acquérir une petite unité de broyage qui permet aux femmes d’améliorer leurs revenus » confie Mme KOUAME Akissi N’da, présidente de la coopérative.
Soutenue par le PPAAO/WAAPP en 2015 par la mise à disposition de boutures de nouvelles variétés de manioc, elle affirme que ces variétés peuvent produire en moyenne 25 à 35 tonnes à l’hectare, contre 10 à 13 tonnes à l’hectare pour le manioc traditionnel.
Cette année, c’est sur une parcelle de 21 hectares qu’elle a mise en valeur ces deux variétés de manioc qui selon elles sont fortement demandé sur le marché en raison de leur qualité gustative et de leur forte teneur en amidon.
Maintenant, la coopérative ne voudrait plus produire pour vendre du manioc brut. Elle ambitionne créer une entreprise de production, de transformation et de vente des différents produits dérivés du manioc, notamment l’attiéké, l’amidon, le tapioca, le gari. C’est dans ce cadre qu’elles transforment le manioc pour donner une plus-value à leur production.
Malgré ce succès, la coopérative fait face à de nombreux besoins notamment, le cout élevé de la main d’œuvre et le nombre insuffisant de broyeuse. Elle souhaite à cet effet que le WAAPP leur vienne en aide pour l’obtention d’un engin de labour et des équipements de transformation.
Ces variétés dénommées BOUCOU 1 et YAVO sont résistantes aux maladies et aux ravageurs et génèrent un rendement élevé.
« C’est pour aider mes sœurs à tirer profit de la production du manioc que j’ai décidé qu’on s’organise en coopérative. A ce jour, nous sommes au nombre de 30 et grâce à l’appui du WAAPP, j’ai pu acquérir une petite unité de broyage qui permet aux femmes d’améliorer leurs revenus » confie Mme KOUAME Akissi N’da, présidente de la coopérative.
Soutenue par le PPAAO/WAAPP en 2015 par la mise à disposition de boutures de nouvelles variétés de manioc, elle affirme que ces variétés peuvent produire en moyenne 25 à 35 tonnes à l’hectare, contre 10 à 13 tonnes à l’hectare pour le manioc traditionnel.
Cette année, c’est sur une parcelle de 21 hectares qu’elle a mise en valeur ces deux variétés de manioc qui selon elles sont fortement demandé sur le marché en raison de leur qualité gustative et de leur forte teneur en amidon.
Maintenant, la coopérative ne voudrait plus produire pour vendre du manioc brut. Elle ambitionne créer une entreprise de production, de transformation et de vente des différents produits dérivés du manioc, notamment l’attiéké, l’amidon, le tapioca, le gari. C’est dans ce cadre qu’elles transforment le manioc pour donner une plus-value à leur production.
Malgré ce succès, la coopérative fait face à de nombreux besoins notamment, le cout élevé de la main d’œuvre et le nombre insuffisant de broyeuse. Elle souhaite à cet effet que le WAAPP leur vienne en aide pour l’obtention d’un engin de labour et des équipements de transformation.