30 milliards €. Tel est l’investissement nécessaire, à moyen terme, selon Christian Adovelande (photo), le président de la Banque ouest africaine de développement (BOAD) pour « régler le problème » du déficit énergétique en Afrique de l’Ouest.
« Nous allons définir les zones de grande production de sorte à pouvoir régler de façon globale la question pour les différents pays. Le problème sera réglé, aussi bien en ce qui concerne les énergies conventionnelles que les énergies renouvelables sur lesquelles nous travaillons beaucoup.», a affirmé le président de la BOAD.
La mise en place des futures infrastructures permettra aux pays d’accroître leur compétitivité économique. L’institution financière qui a pour objectif de faciliter l’intégration économique des pays de la région, insiste particulièrement sur l’interconnexion électrique de la région.
L’Afrique de l’Ouest a un taux d’électrification de 40%, en moyenne, selon la banque mondiale. La majorité des populations ayant accès à l’électricité sont dans les villes et souffrent fréquemment de délestages.
Gwladys Johnson
« Nous allons définir les zones de grande production de sorte à pouvoir régler de façon globale la question pour les différents pays. Le problème sera réglé, aussi bien en ce qui concerne les énergies conventionnelles que les énergies renouvelables sur lesquelles nous travaillons beaucoup.», a affirmé le président de la BOAD.
La mise en place des futures infrastructures permettra aux pays d’accroître leur compétitivité économique. L’institution financière qui a pour objectif de faciliter l’intégration économique des pays de la région, insiste particulièrement sur l’interconnexion électrique de la région.
L’Afrique de l’Ouest a un taux d’électrification de 40%, en moyenne, selon la banque mondiale. La majorité des populations ayant accès à l’électricité sont dans les villes et souffrent fréquemment de délestages.
Gwladys Johnson