L’auditorium de la primature a abrité lundi un Atelier national de validation de l’agenda 2017 des réformes du Doing Business, en présence du Premier ministre, ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, Daniel Kablan Duncan.
Après avoir rappelé la haute importance de l’Atelier qui s’est ouvert ce jour dans le processus d’amélioration du climat des affaires en Côte d’Ivoire, Le chef du Gouvernement ivoirien a insisté sur la nécessité pour tous les acteurs nationaux d’œuvrer à renforcer et pérenniser la dynamique d’amélioration de l’environnement des affaires.
Le classement de la Côte d’Ivoire dans le « TOP 10 » des pays les plus réformateurs au Monde, selon les rapports Doing Business 2014 et 2015 et la progression du classement de la Côte d’Ivoire de 35 places, passant du 177ème au 142ème rang en 20 autres réformes MCC OGP ne devraient pas faire perdre de vue que c’est seulement cinq places que la Côte-d’Ivoire a obtenu au précédent classement, passant du 147ème au 142ème rang.
Ce qui, aux dires du Premier Ministre a consacré la sortie de la Côte d’Ivoire du « cluster » très envié des dix pays les plus réformateurs au monde.
« Nous devons donc dans ces conditions tirer toutes les leçons de cette relative contre-performance et reconnaitre qu’il nous reste encore beaucoup à faire pour répondre aux exigences de l’émergence voulue par le Président de la République. Nous devons surtout prendre, de façon courageuse et résolue, toutes les mesures urgentes qu’impose cette situation.
En d’autres termes, il convient de s’arrêter un instant pour apprécier le chemin parcouru et accélérer la mise en œuvre de ce qui reste à faire, avec en ligne de mire, l’échéance capitale de l’émergence en 2020 », s’est exprimé le chef du gouvernement ivoirien.
Daniel Kablan Duncan a rappelé que l’objectif de la Côte d’Ivoire est de se positionner parmi les cinquante (50) meilleures économies au classement Doing Business de la Banque Mondiale, au plus tard en 2019. l’engagement du Gouvernement pour l’amélioration de l’environnement des affaires comporte des engagements très clairs et précis, invitant à la simplification, la rationalisation et la dématérialisation des procédures administratives, dans la délivrance des actes et services au public, a rappelé le Premier ministre.
cet atelier qui porte sur le thème « Amélioration du climat des affaires et défis de l’émergence : quelles réformes comme levier pour l’efficacité et la transparence de l’action publique au service du Secteur privé ?», répond donc au souci d’impliquer davantage les plus hautes autorités du pays. Il donnera aussi l’occasion de partager les meilleures pratiques mises en œuvre dans les autres régions du monde.
Cet atelier permettra de prendre des engagements fermes au niveau des départements respectifs qui soient réalistes et tenables, notamment au niveau de la mise en œuvre de la communication et du financement.
« Il nous faut donc, dans le cadre de cet atelier, réfléchir aux remèdes à apporter aux dysfonctionnements et blocages qui entravent la bonne conduite du processus et l’atteinte de nos objectifs », a conclu le Chef du Gouvernement ivoirien.
L’une des mesures les plus importantes, à laquelle travaille l’Etat pour améliorer son classement Doing Business, c’est la dématérialisation des actes et services administratifs, a expliqué le Directeur général du Centre de Promotion des Investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), Esmel Essis Emmanuel. Il s’agit à travers cette mesure de permettre au citoyen de recourir à l’administration sans avoir besoin de se déplacer.
Elisée B.
Après avoir rappelé la haute importance de l’Atelier qui s’est ouvert ce jour dans le processus d’amélioration du climat des affaires en Côte d’Ivoire, Le chef du Gouvernement ivoirien a insisté sur la nécessité pour tous les acteurs nationaux d’œuvrer à renforcer et pérenniser la dynamique d’amélioration de l’environnement des affaires.
Le classement de la Côte d’Ivoire dans le « TOP 10 » des pays les plus réformateurs au Monde, selon les rapports Doing Business 2014 et 2015 et la progression du classement de la Côte d’Ivoire de 35 places, passant du 177ème au 142ème rang en 20 autres réformes MCC OGP ne devraient pas faire perdre de vue que c’est seulement cinq places que la Côte-d’Ivoire a obtenu au précédent classement, passant du 147ème au 142ème rang.
Ce qui, aux dires du Premier Ministre a consacré la sortie de la Côte d’Ivoire du « cluster » très envié des dix pays les plus réformateurs au monde.
« Nous devons donc dans ces conditions tirer toutes les leçons de cette relative contre-performance et reconnaitre qu’il nous reste encore beaucoup à faire pour répondre aux exigences de l’émergence voulue par le Président de la République. Nous devons surtout prendre, de façon courageuse et résolue, toutes les mesures urgentes qu’impose cette situation.
En d’autres termes, il convient de s’arrêter un instant pour apprécier le chemin parcouru et accélérer la mise en œuvre de ce qui reste à faire, avec en ligne de mire, l’échéance capitale de l’émergence en 2020 », s’est exprimé le chef du gouvernement ivoirien.
Daniel Kablan Duncan a rappelé que l’objectif de la Côte d’Ivoire est de se positionner parmi les cinquante (50) meilleures économies au classement Doing Business de la Banque Mondiale, au plus tard en 2019. l’engagement du Gouvernement pour l’amélioration de l’environnement des affaires comporte des engagements très clairs et précis, invitant à la simplification, la rationalisation et la dématérialisation des procédures administratives, dans la délivrance des actes et services au public, a rappelé le Premier ministre.
cet atelier qui porte sur le thème « Amélioration du climat des affaires et défis de l’émergence : quelles réformes comme levier pour l’efficacité et la transparence de l’action publique au service du Secteur privé ?», répond donc au souci d’impliquer davantage les plus hautes autorités du pays. Il donnera aussi l’occasion de partager les meilleures pratiques mises en œuvre dans les autres régions du monde.
Cet atelier permettra de prendre des engagements fermes au niveau des départements respectifs qui soient réalistes et tenables, notamment au niveau de la mise en œuvre de la communication et du financement.
« Il nous faut donc, dans le cadre de cet atelier, réfléchir aux remèdes à apporter aux dysfonctionnements et blocages qui entravent la bonne conduite du processus et l’atteinte de nos objectifs », a conclu le Chef du Gouvernement ivoirien.
L’une des mesures les plus importantes, à laquelle travaille l’Etat pour améliorer son classement Doing Business, c’est la dématérialisation des actes et services administratifs, a expliqué le Directeur général du Centre de Promotion des Investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), Esmel Essis Emmanuel. Il s’agit à travers cette mesure de permettre au citoyen de recourir à l’administration sans avoir besoin de se déplacer.
Elisée B.