Le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani, ministre des Ressources animales et halieutiques, a fait le déplacement au Parc des Expositions de Rennes en France qui accueille le Salon de la production animale Carrefour Européen dénommé « SPACE ». Dans l’entretien qu’il nous a accordé, à la fin du Salon, le chef de la délégation ivoirienne nous situe sur l’intérêt de sa présence au SPACE, à Rennes. Entretien.
Quel enseignement tirez-vous de votre visite au Salon de la production animale ?
Les enseignements sont nombreux. Nous avons eu des contacts et avons échangé avec les partenaires du secteur de l’élevage. Nous avons eu des rencontres avec les opérateurs, les industriels du secteur de l’élevage, les éleveurs et des partenaires économiques qui voudront investir dans notre pays. Avec la vingtaine d’opérateurs privés qui nous ont accompagnés, nous leur avons permis de nouer des contacts. Je pense que ces contacts ont été fructueux. La preuve, plusieurs investisseurs ont manifesté leur désir de se rendre en Côte d’Ivoire pour aider à propulser notre élevage. C’est vous dire que nous sommes très satisfait d’avoir participé à ce Salon qui a la spécificité de se consacrer aux productions animales.
Quel sens donnez-vous à l’appel que vous avez lancé à l’endroit des agriculteurs français de venir prendre part au SARA 2017?
En Europe, quand on parle de Salon, ce qui attire le plus, c’est la production animale. Dans notre pays, la Côte d’Ivoire, nous sommes un pays à vocation agricole. Ce qui attire chez nous, c’est le café et le cacao et bien d’autres spéculations. Donc, nous avons décidé qu’à l’occasion du SARA 2017, la France puisse transposer, au niveau de la Côte d’Ivoire, ce qu’elle a de plus précieux dans le domaine de l’élévage. Pour cela, nous avons pris beaucoup de contacts . Il y a des équipements agricoles que ce soit au niveau végétal comme animalier qui vont être acheminés vers notre pays par les opérateurs économiques et éleveurs français, dans le cadre du Salon de l’agriculture et des ressources animales. Surplace, nos éleveurs et agriculteurs vont s’approprier ces équipements afin de booster leur activité d’élevage ou d’agriculture. Pour nous, l’occasion est toute belle de faire venir ces équipements, ces animaux et tout ce qui peut être utilisé chez nous. C’est pourquoi, nous avons lancé l’appel aux opérateurs et équipementiers du secteur de l’élevage et tout comme de l’agriculture de venir prendre par au SARA 2017.
Sercom Mirah à Renne
Quel enseignement tirez-vous de votre visite au Salon de la production animale ?
Les enseignements sont nombreux. Nous avons eu des contacts et avons échangé avec les partenaires du secteur de l’élevage. Nous avons eu des rencontres avec les opérateurs, les industriels du secteur de l’élevage, les éleveurs et des partenaires économiques qui voudront investir dans notre pays. Avec la vingtaine d’opérateurs privés qui nous ont accompagnés, nous leur avons permis de nouer des contacts. Je pense que ces contacts ont été fructueux. La preuve, plusieurs investisseurs ont manifesté leur désir de se rendre en Côte d’Ivoire pour aider à propulser notre élevage. C’est vous dire que nous sommes très satisfait d’avoir participé à ce Salon qui a la spécificité de se consacrer aux productions animales.
Quel sens donnez-vous à l’appel que vous avez lancé à l’endroit des agriculteurs français de venir prendre part au SARA 2017?
En Europe, quand on parle de Salon, ce qui attire le plus, c’est la production animale. Dans notre pays, la Côte d’Ivoire, nous sommes un pays à vocation agricole. Ce qui attire chez nous, c’est le café et le cacao et bien d’autres spéculations. Donc, nous avons décidé qu’à l’occasion du SARA 2017, la France puisse transposer, au niveau de la Côte d’Ivoire, ce qu’elle a de plus précieux dans le domaine de l’élévage. Pour cela, nous avons pris beaucoup de contacts . Il y a des équipements agricoles que ce soit au niveau végétal comme animalier qui vont être acheminés vers notre pays par les opérateurs économiques et éleveurs français, dans le cadre du Salon de l’agriculture et des ressources animales. Surplace, nos éleveurs et agriculteurs vont s’approprier ces équipements afin de booster leur activité d’élevage ou d’agriculture. Pour nous, l’occasion est toute belle de faire venir ces équipements, ces animaux et tout ce qui peut être utilisé chez nous. C’est pourquoi, nous avons lancé l’appel aux opérateurs et équipementiers du secteur de l’élevage et tout comme de l’agriculture de venir prendre par au SARA 2017.
Sercom Mirah à Renne