Les Ministres Anne Ouloto et Jean Claude Brou, en charge respectivement des maroquins de la Salubrité Urbaine et de l’Assainissement, et de l’Industrie et des Mines, sont résolument déterminés à gagner la ‘’guerre’’ contre la fabrication, la commercialisation et l’utilisation des sachets plastiques. Ce mercredi 21 Septembre 2016, ces deux membres du Gouvernement ont co-présidé, au Ministère de la Salubrité Urbaine et de l’Assainissement, la réunion mensuelle du Comité interministériel mis en place à cet effet.
A l’occasion, trois importants exposés leur ont été faits. Le premier exposé a été l’affaire de Bambara Souleymane, Directeur des Opérations urbaines et de la lutte contre les nuisances, qui a présenté aux participants la stratégie de récupération des sachets plastiques. Le second exposé a permis au Président de la Commission d’analyses et d’attribution des autorisations exceptionnelles, Djoman Maxime, de faire le point des activités de sa commission technique. A l’en croire, la Commission a reçu des entreprises 17 dossiers de demande d’autorisation exceptionnelle de sachets plastiques à savoir 9 dossiers provenant de la zone industrielle de Yopougon, 3 de Treichville, 2 de Marcory, 2 de Koumassi et 1 de Vridi. ‘’Des notifications de correspondances valant mise en demeure ont été adressées aux entreprises qui ont souhaité un renouvellement de leur autorisation à l’effet d’avoir à respecter les engagements qu’elles ont elles même pris sous peine de voir leur requêtes déclarer irrecevables et d’exercer dans l’illégalité leurs activités. A ce jour, quatre parmi elles viennent de fournir leur plan de reconversion’’, a révélé Djoman, en précisant que les entreprises qui n’auront pas satisfait à cette exigence se verront purement interdites d’activité. A en croire Djoman Maxime, le plan de reconversion ‘’est un plan de gestion environnemental et social qui permet d’assurer une gestion écologiquement rationnelle des déchets de sachets plastiques produits par leurs activités’’.
Le 3è exposé qui présente le plan de communication a été présenté par le Directeur de la Communication et des Relations publiques, Cissé Aboubakar. Il a indiqué que la communication dans ce processus a pour vocation d’opérer chez les citoyens un changement de comportement. Aussi, a-t-il mis en relief les axes de sa stratégie visant à sensibiliser les populations sur les conséquences de l’usage des sachets plastiques, à promouvoir les éléments de substitution, à faire la promotion de l’Economie verte et à vulgariser naturellement le décret d’interdiction du 22 mai 2013. Il fera ensuite remarquer que la campagne communicationnelle durera trois mois.
Pour Anne Ouloto, le processus est irréversible. ‘’Il s’agit d’accompagner ces entreprises. Il faut qu’elles se reconvertissent. Si nous avions voulu être stricts, on aurait procédé à la fermeture immédiate des entreprises donnant encore dans la fabrication et la commercialisation des sachets plastiques. Nous y allons intelligemment, mais dans la rigueur et la discipline’’, a relevé le Ministre de la Salubrité Urbaine et de l’Assainissement, plaidant qu’un ultime appel soit lancé en direction des entreprises clandestines.
Quant au Ministre Jean Claude Brou, il a indiqué que le Comité interministériel ne devrait pas rater cette phase. ‘’Il faut être très précis dans la démarche. Il faut que les membres des équipes qui iront vers les entreprises soient bien préparés et que leur mission soit bien précise’’, a-t-il conseillé.
Il faut retenir que dans le souci d’accélérer l’atteinte de l’objectif, les deux membres du Gouvernement reçoivent ce vendredi 23 Septembre 2016 les principaux patrons des faitières en vue de leur tenir le même langage de fermeté, quant à ce processus irréversible.
A l’occasion, trois importants exposés leur ont été faits. Le premier exposé a été l’affaire de Bambara Souleymane, Directeur des Opérations urbaines et de la lutte contre les nuisances, qui a présenté aux participants la stratégie de récupération des sachets plastiques. Le second exposé a permis au Président de la Commission d’analyses et d’attribution des autorisations exceptionnelles, Djoman Maxime, de faire le point des activités de sa commission technique. A l’en croire, la Commission a reçu des entreprises 17 dossiers de demande d’autorisation exceptionnelle de sachets plastiques à savoir 9 dossiers provenant de la zone industrielle de Yopougon, 3 de Treichville, 2 de Marcory, 2 de Koumassi et 1 de Vridi. ‘’Des notifications de correspondances valant mise en demeure ont été adressées aux entreprises qui ont souhaité un renouvellement de leur autorisation à l’effet d’avoir à respecter les engagements qu’elles ont elles même pris sous peine de voir leur requêtes déclarer irrecevables et d’exercer dans l’illégalité leurs activités. A ce jour, quatre parmi elles viennent de fournir leur plan de reconversion’’, a révélé Djoman, en précisant que les entreprises qui n’auront pas satisfait à cette exigence se verront purement interdites d’activité. A en croire Djoman Maxime, le plan de reconversion ‘’est un plan de gestion environnemental et social qui permet d’assurer une gestion écologiquement rationnelle des déchets de sachets plastiques produits par leurs activités’’.
Le 3è exposé qui présente le plan de communication a été présenté par le Directeur de la Communication et des Relations publiques, Cissé Aboubakar. Il a indiqué que la communication dans ce processus a pour vocation d’opérer chez les citoyens un changement de comportement. Aussi, a-t-il mis en relief les axes de sa stratégie visant à sensibiliser les populations sur les conséquences de l’usage des sachets plastiques, à promouvoir les éléments de substitution, à faire la promotion de l’Economie verte et à vulgariser naturellement le décret d’interdiction du 22 mai 2013. Il fera ensuite remarquer que la campagne communicationnelle durera trois mois.
Pour Anne Ouloto, le processus est irréversible. ‘’Il s’agit d’accompagner ces entreprises. Il faut qu’elles se reconvertissent. Si nous avions voulu être stricts, on aurait procédé à la fermeture immédiate des entreprises donnant encore dans la fabrication et la commercialisation des sachets plastiques. Nous y allons intelligemment, mais dans la rigueur et la discipline’’, a relevé le Ministre de la Salubrité Urbaine et de l’Assainissement, plaidant qu’un ultime appel soit lancé en direction des entreprises clandestines.
Quant au Ministre Jean Claude Brou, il a indiqué que le Comité interministériel ne devrait pas rater cette phase. ‘’Il faut être très précis dans la démarche. Il faut que les membres des équipes qui iront vers les entreprises soient bien préparés et que leur mission soit bien précise’’, a-t-il conseillé.
Il faut retenir que dans le souci d’accélérer l’atteinte de l’objectif, les deux membres du Gouvernement reçoivent ce vendredi 23 Septembre 2016 les principaux patrons des faitières en vue de leur tenir le même langage de fermeté, quant à ce processus irréversible.