Le groupement des femmes productrices du riz étuvé de la Coopérative des producteurs de riz d’Abongoua (COPRORIZ) bénéficie depuis trois ans d’une nouvelle technologie agricole pour l’étuvage de riz, qui lui permet de produire le riz étuvé (Malohoussou) en qualité et en quantité afin de gagner plus.
Grâce au Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO/WAAPP) qui a introduit cette technologie venue de la Guinée, les femmes de la COPRORIZ ont délaissé les anciennes techniques rudimentaires et parfois dangereuses.
D’ailleurs, ce n’est pas Jean Claude Aka, président de la plateforme de la filière riz du Moronou, qui dira le contraire. Il a relevé les changements notables aussi bien au niveau du rendement avec les hausses des commandes qu’au niveau de l’amélioration des conditions de vie des acteurs de cette plateforme.
« Avant, le travail était pénible. Nous avions même enregistré des blessés et des pertes en vie humaine. Depuis que les étuveuses ont été introduites dans nos habitudes de production, le travail est plus aisé », s’est-il réjouit.
L’étuvage de riz permet d’obtenir du riz de meilleure qualité, car le riz obtenu avec les anciennes techniques se brisait, contenait des cailloux, et avait une mauvaise odeur, ce qui rendait difficile sa commercialisation sur le marché.
La technique a aussi augmenté considérablement la production. " Avant, on faisait 10 sacs de 100 KG de riz par jour. Aujourd’hui, la nouvelle méthode nous permet d’avoir jusqu’à 30 voir 40 sacs par jour ", a confié dame Mariam Sangaré, présidente du groupement des femmes productrices du riz étuvé.
Au terme du processus de production, le kilogramme de riz étuvé est vendu à 300 F CFA le Kg, un gain qui se devine aisément au sourire de ces courageuses dames.
« Je ne tends plus la main pour acheter mes médicaments et je ne suis plus inquiète quant aux sommes à payer lors des travaux champêtres » se félicite Mme Sangaré.
Toutefois ces femmes sont confrontées à certaines difficultés telles que l’insuffisance de bas-fonds exploitables, ce qui les exposent aux aléas climatiques.
Créée en 2013, le groupement que dirige dame Sangaré Mariam compte à ce jour 205 membres, un nombre qui s’est accru depuis l’utilisation de la technologie de l’étuvage de riz. Il a besoin de soutien comme l’acquisition de nouvelles machines (décortiqueuses, étuveuses, etc.), d’intrants et de nouveaux bassins aménagés.
Notons que le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO) vise à assurer la sécurité alimentaire dans les 13 pays impliqués dans la mise en œuvre de ce programme.
Grâce au Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO/WAAPP) qui a introduit cette technologie venue de la Guinée, les femmes de la COPRORIZ ont délaissé les anciennes techniques rudimentaires et parfois dangereuses.
D’ailleurs, ce n’est pas Jean Claude Aka, président de la plateforme de la filière riz du Moronou, qui dira le contraire. Il a relevé les changements notables aussi bien au niveau du rendement avec les hausses des commandes qu’au niveau de l’amélioration des conditions de vie des acteurs de cette plateforme.
« Avant, le travail était pénible. Nous avions même enregistré des blessés et des pertes en vie humaine. Depuis que les étuveuses ont été introduites dans nos habitudes de production, le travail est plus aisé », s’est-il réjouit.
L’étuvage de riz permet d’obtenir du riz de meilleure qualité, car le riz obtenu avec les anciennes techniques se brisait, contenait des cailloux, et avait une mauvaise odeur, ce qui rendait difficile sa commercialisation sur le marché.
La technique a aussi augmenté considérablement la production. " Avant, on faisait 10 sacs de 100 KG de riz par jour. Aujourd’hui, la nouvelle méthode nous permet d’avoir jusqu’à 30 voir 40 sacs par jour ", a confié dame Mariam Sangaré, présidente du groupement des femmes productrices du riz étuvé.
Au terme du processus de production, le kilogramme de riz étuvé est vendu à 300 F CFA le Kg, un gain qui se devine aisément au sourire de ces courageuses dames.
« Je ne tends plus la main pour acheter mes médicaments et je ne suis plus inquiète quant aux sommes à payer lors des travaux champêtres » se félicite Mme Sangaré.
Toutefois ces femmes sont confrontées à certaines difficultés telles que l’insuffisance de bas-fonds exploitables, ce qui les exposent aux aléas climatiques.
Créée en 2013, le groupement que dirige dame Sangaré Mariam compte à ce jour 205 membres, un nombre qui s’est accru depuis l’utilisation de la technologie de l’étuvage de riz. Il a besoin de soutien comme l’acquisition de nouvelles machines (décortiqueuses, étuveuses, etc.), d’intrants et de nouveaux bassins aménagés.
Notons que le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO) vise à assurer la sécurité alimentaire dans les 13 pays impliqués dans la mise en œuvre de ce programme.