Séguéla – Des représentants de villages enregistrant encore des blocages dans la délimitation de leurs territoires se sont engagés jeudi, au cours d’une rencontre à la préfecture de Séguéla (Nord-ouest, région du Worodougou), à surmonter leurs différends pour que ce projet qui tire à sa fin aboutisse.
‘’Il faut que chacun mette de l’eau dans son vin’’, a exhorté Koné Abou, le représentant du chef de Bobi, village qui éprouve des difficultés à trouver un consensus sur ses limites avec le village de Forona.
‘’Nous sommes dans la même dynamique que les autres car nous sommes les premiers bénéficiaires’’, a, pour sa part, déclaré le représentant du chef du village de Diarabana, Fofana Mégbéna, qui a donc souhaité qu’’’une issue favorable’’ soit vite trouvée à leurs litiges.
Sur les 56 tronçons identifiés dans le cadre du projet Droits de propriété et développement du diamant artisanal (DPDDA II) cofinancé par l’USAID et l’Union européenne (UE), des obstacles subsistent aujourd’hui sur deux, à savoir Niongonon-Diarabana et Forona-Bobi, relève-t-on.
‘’On a intérêt à s’entendre’’, a affirmé le chef de Niongonon, Coulibaly Métiéko, qui a souhaité de franches discussions avec ses ‘’frères’’ de Diarabana.
Avant ces déclarations de bonne intention, le préfet par intérim, Adolphe Zégbé-Kouamé, a programmé pour samedi et dimanche des rencontres dans chacun des villages concernés.
Démarré en septembre 2014 avec la formation des autorités locales, le projet de délimitation des territoires villageois qui est à une semaine de son terme vise un double objectif, en l’occurrence augmenter le volume de diamants légalement exportés dans le cadre du processus de Kimberley et améliorer les conditions de vie des communautés minières, note-t-on.
kkp/ask
‘’Il faut que chacun mette de l’eau dans son vin’’, a exhorté Koné Abou, le représentant du chef de Bobi, village qui éprouve des difficultés à trouver un consensus sur ses limites avec le village de Forona.
‘’Nous sommes dans la même dynamique que les autres car nous sommes les premiers bénéficiaires’’, a, pour sa part, déclaré le représentant du chef du village de Diarabana, Fofana Mégbéna, qui a donc souhaité qu’’’une issue favorable’’ soit vite trouvée à leurs litiges.
Sur les 56 tronçons identifiés dans le cadre du projet Droits de propriété et développement du diamant artisanal (DPDDA II) cofinancé par l’USAID et l’Union européenne (UE), des obstacles subsistent aujourd’hui sur deux, à savoir Niongonon-Diarabana et Forona-Bobi, relève-t-on.
‘’On a intérêt à s’entendre’’, a affirmé le chef de Niongonon, Coulibaly Métiéko, qui a souhaité de franches discussions avec ses ‘’frères’’ de Diarabana.
Avant ces déclarations de bonne intention, le préfet par intérim, Adolphe Zégbé-Kouamé, a programmé pour samedi et dimanche des rencontres dans chacun des villages concernés.
Démarré en septembre 2014 avec la formation des autorités locales, le projet de délimitation des territoires villageois qui est à une semaine de son terme vise un double objectif, en l’occurrence augmenter le volume de diamants légalement exportés dans le cadre du processus de Kimberley et améliorer les conditions de vie des communautés minières, note-t-on.
kkp/ask