Abidjan - Une réunion de coordination sur le corridor Abidjan-Lagos, organisée par la Banque africaine de développement (BAD), s’est achevée mardi avec un appel pour un engagement renouvelé et une accélération des efforts de mise en œuvre du projet visant à améliorer l’efficacité le long du corridor.
La rencontre, initiée en partenariat avec la CEDEAO, a réuni pour la première fois tous les acteurs impliqués dans la gestion du Corridor Abidjan-Lagos, afin de favoriser le partage d’expérience mais aussi rechercher des pistes pour éliminer les obstacles relevés sur le corridor. Plus de 65 délégués représentant les partenaires au développement, les pays membres et autres organisations intervenant sur le corridor se sont penchés sur les principaux défis à relever et ont aussi formulé des recommandations pour accélérer la mise en œuvre du projet.
Il s’agit du renforcement des interventions financières, de la création d’une plateforme pour la gestion et de partage de données, l’évaluation de l’impact en matière de développement des activités le long du corridor, la duplication des meilleures pratiques qui ont fait leurs preuves dans d’autres régions, la mise en place d’un mécanisme de coordination pour l’amélioration et l’accélération de la performance et la création d’un outil de surveillance de la mise en œuvre pour faciliter la prise de décision des chefs d’Etats.
Les délégués ont convenu de tenir des réunions de coordination annuelles tournantes pour la mise à jour des activités respectives. La prochaine réunion est prévue les 27 et 28 septembre 2017 à Accra, au Ghana.
Le Corridor Abidjan-Lagos est un projet phare du Programme d’Infrastructures pour le Développement de l’Afrique (PIDA) approuvé par les Chefs d’Etat africains en février 2012 lors du 18ème sommet de l’Union Africaine à Addis Abeba. Le projet bénéficie d’un financement de la Banque mondiale en deux phases. La première, pour laquelle 228 millions de dollars sont accordés, couvre le Ghana, le Togo et le Bénin. La deuxième phase estimée à 89,5 millions de dollars couvrira la Côte d’Ivoire et le Nigeria. Le corridor Abidjan-Lagos est le plus fréquenté en Afrique de l'Ouest, et à terme sera un axe routier à six voies de 1028 kilomètres et qui reliera les villes d’Abidjan, Accra, Lomé, Cotonou et Lagos, tout en desservant tous les pays enclavés de la région. Il reliera également des ports maritimes, souligne-t-on.
kkf/ask
La rencontre, initiée en partenariat avec la CEDEAO, a réuni pour la première fois tous les acteurs impliqués dans la gestion du Corridor Abidjan-Lagos, afin de favoriser le partage d’expérience mais aussi rechercher des pistes pour éliminer les obstacles relevés sur le corridor. Plus de 65 délégués représentant les partenaires au développement, les pays membres et autres organisations intervenant sur le corridor se sont penchés sur les principaux défis à relever et ont aussi formulé des recommandations pour accélérer la mise en œuvre du projet.
Il s’agit du renforcement des interventions financières, de la création d’une plateforme pour la gestion et de partage de données, l’évaluation de l’impact en matière de développement des activités le long du corridor, la duplication des meilleures pratiques qui ont fait leurs preuves dans d’autres régions, la mise en place d’un mécanisme de coordination pour l’amélioration et l’accélération de la performance et la création d’un outil de surveillance de la mise en œuvre pour faciliter la prise de décision des chefs d’Etats.
Les délégués ont convenu de tenir des réunions de coordination annuelles tournantes pour la mise à jour des activités respectives. La prochaine réunion est prévue les 27 et 28 septembre 2017 à Accra, au Ghana.
Le Corridor Abidjan-Lagos est un projet phare du Programme d’Infrastructures pour le Développement de l’Afrique (PIDA) approuvé par les Chefs d’Etat africains en février 2012 lors du 18ème sommet de l’Union Africaine à Addis Abeba. Le projet bénéficie d’un financement de la Banque mondiale en deux phases. La première, pour laquelle 228 millions de dollars sont accordés, couvre le Ghana, le Togo et le Bénin. La deuxième phase estimée à 89,5 millions de dollars couvrira la Côte d’Ivoire et le Nigeria. Le corridor Abidjan-Lagos est le plus fréquenté en Afrique de l'Ouest, et à terme sera un axe routier à six voies de 1028 kilomètres et qui reliera les villes d’Abidjan, Accra, Lomé, Cotonou et Lagos, tout en desservant tous les pays enclavés de la région. Il reliera également des ports maritimes, souligne-t-on.
kkf/ask
