Abidjan – Les études de faisabilité du corridor Abidjan-Lagos, long de 1028 kilomètres, sont estimées à 2,7 millions de dollars soit environ 1,350 milliard de francs CFA, a révélé la Commissaire de la CEDEAO en charge des Infrastructures, Dr. Antoinette G. Weeks, au terme d’une réunion de coordination sur ce corridor, organisée par la Banque africaine de développement (BAD).
Le corridor Abidjan-Lagos est le plus fréquenté en Afrique de l'Ouest, et à terme sera un axe routier à six voies de 1028 kilomètres. Il reliera les villes d’Abidjan, Accra, Lomé, Cotonou et Lagos, tout en desservant tous les pays enclavés de la région. Il reliera également des ports maritimes.
"C’est une route qui existe déjà, ce n’est pas nouveau. Ce que nous faisons, nous essayons de réhabiliter cette route en général à partir des corridors existants", a expliqué la commissaire de la CEDEAO.
Dr. Antoinette G. Weeks, a souligné que pour la CEDEAO, les réalisations et acquis sur le corridor sont "indéniables", précisant que "le principal défi" est de trouver des solutions pragmatiques et concrètes pour la libre circulation des marchandises.
"Le corridor doit être perçu comme un véritable moteur de développement économique pour la région et pas uniquement comme un projet de construction de route. Nous devons aussi nous assurer que dans sa mise en œuvre, le corridor reste conforme à la vision des chefs d’Etat," a-t-elle conclu.
Les études devront démarrer au premier semestre 2017 et durer huit mois, indique-t-on.
kkf/ask
Le corridor Abidjan-Lagos est le plus fréquenté en Afrique de l'Ouest, et à terme sera un axe routier à six voies de 1028 kilomètres. Il reliera les villes d’Abidjan, Accra, Lomé, Cotonou et Lagos, tout en desservant tous les pays enclavés de la région. Il reliera également des ports maritimes.
"C’est une route qui existe déjà, ce n’est pas nouveau. Ce que nous faisons, nous essayons de réhabiliter cette route en général à partir des corridors existants", a expliqué la commissaire de la CEDEAO.
Dr. Antoinette G. Weeks, a souligné que pour la CEDEAO, les réalisations et acquis sur le corridor sont "indéniables", précisant que "le principal défi" est de trouver des solutions pragmatiques et concrètes pour la libre circulation des marchandises.
"Le corridor doit être perçu comme un véritable moteur de développement économique pour la région et pas uniquement comme un projet de construction de route. Nous devons aussi nous assurer que dans sa mise en œuvre, le corridor reste conforme à la vision des chefs d’Etat," a-t-elle conclu.
Les études devront démarrer au premier semestre 2017 et durer huit mois, indique-t-on.
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