Le ministre de l’Industrie et des mines, Jean Claude Brou, au nom de l’Etat de Côte d’Ivoire, et le directeur général de Shiloh Manganese SA, Kannoth Haridas, ont signé jeudi, à Abidjan, une convention portant sur l’exploitation d'un gisement de manganèse à Korhogo et à Kikodougou, dans le Nord du pays.
Selon l’administrateur de cette société minière, Blékahi Philippe, l’exploitation porte sur une superficie de 95,9 km² et les travaux de recherches qui ont permis la mise en évidence du gisement ont engendré des coûts directs de 1,2 milliard de francs CFA.
La cadence de production projetée à partir de 2017 est de 196 000 tonnes par an sur une durée de vie initiale du projet estimée à 12 ans, a poursuivi M. Blékahi, ajoutant que sa mise en œuvre nécessitera au démarrage un investissement global d’environ 10 milliards de francs CFA pour 250 emplois permanents.
De son côté, le ministre Jean Claude Brou, a affirmé que la convention signée par les deux parties a pour but de garantir à la société Shiloh Manganese, une stabilité fiscale pendant la durée de l’exploitation, car elle prévoit la mise en place d’un Fonds de développement conformément aux dispositions du code minier et également la création d’un Fonds séquestre destiné à la gestion des impacts environnementaux.
Invitant les opérateurs du secteur minier à d’avantage "investir dans une Côte d’Ivoire sécurisée et engagée résolument sur la voie de l’émergence économique", il a rassuré ses hôtes sur la détermination du gouvernement "de tout mettre en œuvre pour que leurs investissements prospèrent dans le pays" dans leur intérêt et pour celui du peuple ivoirien.
La zone de Korhogo et de Dikodougou devient la quatrième mine d’exploitation de manganèse en Côte d’Ivoire après celles de Bondoukou, Lozoua (Grand-Lahou) et Kaniasso (Minignan), a-t-on appris.
fmo/ask
Selon l’administrateur de cette société minière, Blékahi Philippe, l’exploitation porte sur une superficie de 95,9 km² et les travaux de recherches qui ont permis la mise en évidence du gisement ont engendré des coûts directs de 1,2 milliard de francs CFA.
La cadence de production projetée à partir de 2017 est de 196 000 tonnes par an sur une durée de vie initiale du projet estimée à 12 ans, a poursuivi M. Blékahi, ajoutant que sa mise en œuvre nécessitera au démarrage un investissement global d’environ 10 milliards de francs CFA pour 250 emplois permanents.
De son côté, le ministre Jean Claude Brou, a affirmé que la convention signée par les deux parties a pour but de garantir à la société Shiloh Manganese, une stabilité fiscale pendant la durée de l’exploitation, car elle prévoit la mise en place d’un Fonds de développement conformément aux dispositions du code minier et également la création d’un Fonds séquestre destiné à la gestion des impacts environnementaux.
Invitant les opérateurs du secteur minier à d’avantage "investir dans une Côte d’Ivoire sécurisée et engagée résolument sur la voie de l’émergence économique", il a rassuré ses hôtes sur la détermination du gouvernement "de tout mettre en œuvre pour que leurs investissements prospèrent dans le pays" dans leur intérêt et pour celui du peuple ivoirien.
La zone de Korhogo et de Dikodougou devient la quatrième mine d’exploitation de manganèse en Côte d’Ivoire après celles de Bondoukou, Lozoua (Grand-Lahou) et Kaniasso (Minignan), a-t-on appris.
fmo/ask