Korhogo – Une délégation parlementaire française, en « mission d’information » en Côte d’Ivoire, s’est dit « impressionnée » par le Projet d’appui au secteur agricole en Côte d’Ivoire (Psac), à l’issue d’une visite de quelques acteurs de la filière cotonnière à Korhogo.
La mission, conduite par le député du Rhône Philippe Cochet (Les républicains), est venue samedi, constater "l’utilisation réelle et concrète de l’aide au développement" apportée par la France à la Côte d'Ivoire. Il s’agissait de savoir « comment cette aide bénéficie aux paysans » ivoiriens et comment les femmes et les jeunes y sont associés, a expliqué Mme Seybah Dagoma, députée (socialiste) de Paris, rapporteur de la mission.
« A Paris on expliquera qu’on a vu très concrètement les choses, qu’il y a une réalité et qu’il ne s’agit pas d’une fiction : on a vu les preuves tangibles de la réalisation », a déclaré à la presse la députée de Paris, après avoir visité un champ de coton et eu des échanges directs avec des producteurs et des coopérateurs.
« La rencontre avec les producteurs et la visite des champs montrent l’efficacité de la démarche du Psac et laissent à terme la possibilité de proposer d’autres opérations en complément de ce qui existe », a laissé entendre, pour sa part, le chef de la délégation, Philippe Cochet.
Créé pour relancer le secteur agricole ivoirien, le Psac reçoit un financement de la France dans le cadre du Contrat de désendettement (C2D). Le montant du 1er C2D est de 17,840 milliards de fCFA, rappelle-t-on.
Son intervention dans la filière coton se fait suivant trois axes : la réhabilitation et l’entretien de pistes villageoises, la fourniture de matériels et d’intrants agricoles, ainsi que de bœufs de culture attelée et le conseil agricole.
kaem/ask
La mission, conduite par le député du Rhône Philippe Cochet (Les républicains), est venue samedi, constater "l’utilisation réelle et concrète de l’aide au développement" apportée par la France à la Côte d'Ivoire. Il s’agissait de savoir « comment cette aide bénéficie aux paysans » ivoiriens et comment les femmes et les jeunes y sont associés, a expliqué Mme Seybah Dagoma, députée (socialiste) de Paris, rapporteur de la mission.
« A Paris on expliquera qu’on a vu très concrètement les choses, qu’il y a une réalité et qu’il ne s’agit pas d’une fiction : on a vu les preuves tangibles de la réalisation », a déclaré à la presse la députée de Paris, après avoir visité un champ de coton et eu des échanges directs avec des producteurs et des coopérateurs.
« La rencontre avec les producteurs et la visite des champs montrent l’efficacité de la démarche du Psac et laissent à terme la possibilité de proposer d’autres opérations en complément de ce qui existe », a laissé entendre, pour sa part, le chef de la délégation, Philippe Cochet.
Créé pour relancer le secteur agricole ivoirien, le Psac reçoit un financement de la France dans le cadre du Contrat de désendettement (C2D). Le montant du 1er C2D est de 17,840 milliards de fCFA, rappelle-t-on.
Son intervention dans la filière coton se fait suivant trois axes : la réhabilitation et l’entretien de pistes villageoises, la fourniture de matériels et d’intrants agricoles, ainsi que de bœufs de culture attelée et le conseil agricole.
kaem/ask