Bloomfield Investment Corporation, première agence de notation francophone d’Afrique, a organisé le jeudi 29 septembre 2016, à son siège une table ronde pour la restitution des résultats de son étude sur le secteur de l’énergie électrique en Côte d’Ivoire. Cette table ronde a été présidée par Mme Jeanne-Chantal BOUEDY, Conseillère Spéciale, Représentant M. le Ministre du Pétrole et de l’Energie et a enregistré la présence des acteurs du secteur (ANARE, CI-ENERGIES, PETROCI, CIE, CIPREL, AGGREKO, Foxtrot International et Transco CLSG) et d’institutions financières (Hudson Cie, BAD et AFD).
L’étude a mis en avant les risques liés à la structure, à la gouvernance, au cadre réglementaire et juridique ainsi qu’à la situation financière du secteur. Ainsi, il apparait que le secteur de l’électricité en Côte d’Ivoire se caractérise par un niveau de transparence acceptable et l’existence de cadres de discussion entre les différents acteurs. Toutefois, la communication avec la population devrait être améliorée de façon significative. La réglementation du secteur a évolué et prend désormais en compte les enjeux du développement durable à travers le nouveau code de l’électricité. Il sera renforcé par l’adoption de certains décrets d’application encore au stade de projet. Le secteur est assez bien organisé grâce à des textes de loi qui clarifient le rôle de chaque entité. Les ventes d’électricité sont en hausses. Cependant, le déficit financier du secteur persiste principalement en raison du coût d’achat élevé des combustibles. Des mesures s’avèrent indispensables pour résorber ce déficit et pérenniser l’équilibre.
Cette table ronde fut l’occasion pour l’ensemble des participants d’échanger sur les résultats de l’étude et de débattre des principaux enjeux du secteur. Ainsi, les acteurs ont été rassurés de la prise en compte de leurs difficultés par le Gouvernement. De plus, la Représentante du Ministre a insisté sur la volonté de l’Etat de réaliser des investissements en vue de renforcer le mix énergétique pour une électricité de qualité et à un coût abordable pour les populations.
Le rapport final de l’étude sera enrichi des résultats des débats et sera disponible dans la base de données de Bloomfield Investment.
L’étude a mis en avant les risques liés à la structure, à la gouvernance, au cadre réglementaire et juridique ainsi qu’à la situation financière du secteur. Ainsi, il apparait que le secteur de l’électricité en Côte d’Ivoire se caractérise par un niveau de transparence acceptable et l’existence de cadres de discussion entre les différents acteurs. Toutefois, la communication avec la population devrait être améliorée de façon significative. La réglementation du secteur a évolué et prend désormais en compte les enjeux du développement durable à travers le nouveau code de l’électricité. Il sera renforcé par l’adoption de certains décrets d’application encore au stade de projet. Le secteur est assez bien organisé grâce à des textes de loi qui clarifient le rôle de chaque entité. Les ventes d’électricité sont en hausses. Cependant, le déficit financier du secteur persiste principalement en raison du coût d’achat élevé des combustibles. Des mesures s’avèrent indispensables pour résorber ce déficit et pérenniser l’équilibre.
Cette table ronde fut l’occasion pour l’ensemble des participants d’échanger sur les résultats de l’étude et de débattre des principaux enjeux du secteur. Ainsi, les acteurs ont été rassurés de la prise en compte de leurs difficultés par le Gouvernement. De plus, la Représentante du Ministre a insisté sur la volonté de l’Etat de réaliser des investissements en vue de renforcer le mix énergétique pour une électricité de qualité et à un coût abordable pour les populations.
Le rapport final de l’étude sera enrichi des résultats des débats et sera disponible dans la base de données de Bloomfield Investment.