Ouverte le 1er octobre dernier, la 3e édition des Journées nationales du Cacao et du Chocolat a pris fin lundi. Dans cet entretien, M. Ali Lakiss, DG de SAF Cacao se dit optimisme quand à l’avenir du cacao ivoirien.
Quel est le sens la participation de SAFCACAO à la 3e édition des Journées Nationales du Cacao et du Chocolat (JNCC)?
Il s’agit pour nous de promouvoir le Cacao ivoirien et de démontrer aux yeux du monde entier que nous sommes avec les producteurs et nous sommes avec le cacao ivoirien pour aller de l’avant.
Pour cette nouvelle campagne, le prix du cacao a été fixé à 1100f. Quel est votre regard là-dessus ?
En 2011-2012 le prix était 750fcfa, en 2015 c’était à 1000fcfa, aujourd’hui 1100fcfa, je pense que c’est le couronnement d’un bon travail fait les producteurs. Cela prouve aujourd’hui qu’il y a une forte demande dans la consommation du chocolat et on est heureux pour les producteurs. C’est la preuve également que la qualité du chocolat ivoirien est en train de faire son petit bout de chemin.
Le label « cacao ivoire » a été également lancé. Qu’est-ce que cela représente pour vous ?
Cela m’inspire beaucoup de confiance et je crois en la qualité du Cacao ivoirien et nous nous s’inscrivons dans cette démarche. Nous avons une usine de transformation de fèves où nous passons à la masse car transformons déjà environs 30000 tonnes de fèves. Nous allons augmenter notre capacité à moyen terme afin de pouvoir s’inscrire dans la droite ligne de ce projet.
Par ailleurs, au niveau SAF Cacao nous allons dans les années à venir continuer à faire de gros investissements. Nous allons accompagner le cacao ivoirien dans la transformation et surtout dans le produit fini pour arriver un jour à produire et à vendre du chocolat made in Côte d’Ivoire.
C. K.
Quel est le sens la participation de SAFCACAO à la 3e édition des Journées Nationales du Cacao et du Chocolat (JNCC)?
Il s’agit pour nous de promouvoir le Cacao ivoirien et de démontrer aux yeux du monde entier que nous sommes avec les producteurs et nous sommes avec le cacao ivoirien pour aller de l’avant.
Pour cette nouvelle campagne, le prix du cacao a été fixé à 1100f. Quel est votre regard là-dessus ?
En 2011-2012 le prix était 750fcfa, en 2015 c’était à 1000fcfa, aujourd’hui 1100fcfa, je pense que c’est le couronnement d’un bon travail fait les producteurs. Cela prouve aujourd’hui qu’il y a une forte demande dans la consommation du chocolat et on est heureux pour les producteurs. C’est la preuve également que la qualité du chocolat ivoirien est en train de faire son petit bout de chemin.
Le label « cacao ivoire » a été également lancé. Qu’est-ce que cela représente pour vous ?
Cela m’inspire beaucoup de confiance et je crois en la qualité du Cacao ivoirien et nous nous s’inscrivons dans cette démarche. Nous avons une usine de transformation de fèves où nous passons à la masse car transformons déjà environs 30000 tonnes de fèves. Nous allons augmenter notre capacité à moyen terme afin de pouvoir s’inscrire dans la droite ligne de ce projet.
Par ailleurs, au niveau SAF Cacao nous allons dans les années à venir continuer à faire de gros investissements. Nous allons accompagner le cacao ivoirien dans la transformation et surtout dans le produit fini pour arriver un jour à produire et à vendre du chocolat made in Côte d’Ivoire.
C. K.