En prélude de la 51ème réunion du conseil du Fonds pour l’Environnement Mondial(FEM) prévue du 24 au 27 octobre 2016 à Washington DC, une réunion de la circonscription des pays côtiers de l’Afrique de l’Ouest au conseil du FEM se tient les 5 et 6 octobre, à Abidjan.
Réunissant une quinzaine de personnes, cette rencontre d’Abidjan qui se veut très technique permettra de coordonner les différentes positions des points focaux opérationnels et des politiques du groupe de la circonscription des pays côtiers de l’Afrique de l’ouest qui seront discutés au cours de la 51ème réunion du conseil du FEM.
Au cours de la rencontre des Points focaux élargie aux points focaux thématiques et à la société civile, il a été décidé de la tenue de ladite rencontre à Abidjan, proposition faite par l’administrateur Abdul Bakarr lui-même, alors que selon les procédures du FEM, cette réunion devrait se tenir dans le pays de l’Administrateur.
La réunion a pour but d’informer les parties prenantes sur l’évolution des stratégies et des politiques du FEM et de discuter des questions prioritaires de la réunion du Conseil du FEM.
Soulignant l’importance de ces assises, la directrice de cabinet du ministre de l’environnement, Mme Kaba Masseré a invité les autres pays africains à rejoindre le groupe des donateurs à l’instar de l’Afrique du sud, du Nigéria et de la Côte d’Ivoire au vu des problèmes environnementaux à gérer pour la survie de la planète.
Elle a également appelé à une mobilisation des ressources pour les reconstructions futures du FEM avant de féliciter les points focaux des pays membres.
« Les sujets à l’ordre du jour sont les relations avec les conventions puisque le FEM est un organisme de financement des Nations Unies » a souligné Mme Koné Bakayoko Alimata, secrétaire permanente du FEM et point focal pour la Côte d’Ivoire.
Cette année, le point 8 du FEM va attirer l’attention particulière des experts car il va porter sur la reconstitution des ressources du FEM qui fonctionne en cycle de quatre ans et se retrouve dans le 6ème cycle, il faut donc commencer à préparer le 7eme cycle.
La secrétaire permanente a également souligné l’importance pour la Côte d’Ivoire d’aller capter les fonds mis à la disposition des pays côtiers pour le développement.
Le FEM agit dans huit domaines d’intervention dont les changements climatiques, la bio diversité.
En Côte d’Ivoire, les préoccupations se situent au niveau du programme de ville durable qui va consister à agrandir les voies, à créer de nombreux ronds-points pour réduire les bouchons et un programme de gestion des ordures ménagères qui vont mobiliser plus de 137 millions de dollars mis à la disposition des pays côtiers.
Née en 1991 de la volonté de la banque mondiale, du PNUD et du programme des nations unies pour l’environnement, le Fond pour l’Environnement Mondial (FEM) comprend 183 pays membres répartis en 32 groupes ou circonscriptions.
La circonscription des pays côtiers de l’Afrique de l’ouest compte 8 pays dont la Côte d’Ivoire pays hôte des présentes assises.
Atapointe
Réunissant une quinzaine de personnes, cette rencontre d’Abidjan qui se veut très technique permettra de coordonner les différentes positions des points focaux opérationnels et des politiques du groupe de la circonscription des pays côtiers de l’Afrique de l’ouest qui seront discutés au cours de la 51ème réunion du conseil du FEM.
Au cours de la rencontre des Points focaux élargie aux points focaux thématiques et à la société civile, il a été décidé de la tenue de ladite rencontre à Abidjan, proposition faite par l’administrateur Abdul Bakarr lui-même, alors que selon les procédures du FEM, cette réunion devrait se tenir dans le pays de l’Administrateur.
La réunion a pour but d’informer les parties prenantes sur l’évolution des stratégies et des politiques du FEM et de discuter des questions prioritaires de la réunion du Conseil du FEM.
Soulignant l’importance de ces assises, la directrice de cabinet du ministre de l’environnement, Mme Kaba Masseré a invité les autres pays africains à rejoindre le groupe des donateurs à l’instar de l’Afrique du sud, du Nigéria et de la Côte d’Ivoire au vu des problèmes environnementaux à gérer pour la survie de la planète.
Elle a également appelé à une mobilisation des ressources pour les reconstructions futures du FEM avant de féliciter les points focaux des pays membres.
« Les sujets à l’ordre du jour sont les relations avec les conventions puisque le FEM est un organisme de financement des Nations Unies » a souligné Mme Koné Bakayoko Alimata, secrétaire permanente du FEM et point focal pour la Côte d’Ivoire.
Cette année, le point 8 du FEM va attirer l’attention particulière des experts car il va porter sur la reconstitution des ressources du FEM qui fonctionne en cycle de quatre ans et se retrouve dans le 6ème cycle, il faut donc commencer à préparer le 7eme cycle.
La secrétaire permanente a également souligné l’importance pour la Côte d’Ivoire d’aller capter les fonds mis à la disposition des pays côtiers pour le développement.
Le FEM agit dans huit domaines d’intervention dont les changements climatiques, la bio diversité.
En Côte d’Ivoire, les préoccupations se situent au niveau du programme de ville durable qui va consister à agrandir les voies, à créer de nombreux ronds-points pour réduire les bouchons et un programme de gestion des ordures ménagères qui vont mobiliser plus de 137 millions de dollars mis à la disposition des pays côtiers.
Née en 1991 de la volonté de la banque mondiale, du PNUD et du programme des nations unies pour l’environnement, le Fond pour l’Environnement Mondial (FEM) comprend 183 pays membres répartis en 32 groupes ou circonscriptions.
La circonscription des pays côtiers de l’Afrique de l’ouest compte 8 pays dont la Côte d’Ivoire pays hôte des présentes assises.
Atapointe