Abidjan - Le Ministre de l’intégration et des ivoiriens de l’étranger, Ali Coulibaly, présidant jeudi, à Abidjan, la cérémonie d’ouverture de l’Assemblée constitutive du Réseau des institutions des Droits de l’homme de l’Union monétaire Ouest africaine (RINDH-UEMOA) a réaffirmé l’attachement du gouvernement à la promotion du droit de l’homme.
Selon le Ministre Coulibaly, aucune constitution ne fait fi des Droits de l’homme et c’est la raison pour laquelle le gouvernement dans l’avant-projet de la nouvelle constitution est resté attaché aux Droits de l’homme. "La personne humaine est sacrée et le droit en la vie est inviolable", s'est-il exprimé avant d’ouvrir officiellement cette Assemblée qui a eu lieu à l’hôtel Palm Club de Cocody.
La présidente de la Commission des Droits de l’homme en Côte d’Ivoire (CNDHCI), Sangaré Namizata, a indiqué que le RINDH-UEMOA vise à créer un cadre de réflexion et d’échanges sur toutes les problématiques liées à la promotion et la protection des droits de l’homme dans l’espace UEMOA.
Elle a également indiqué que la mission du réseau sera d’interpeller, de conseiller les pouvoirs publiques, les acteurs de défenses des droits de l’homme, sur la nécessité de fédérer les énergies et les bases collectives d’une action collective et efficace de promotion et de protection des droits de l’homme.
Les présidents des institutions nationales des Droits de l’homme (INDH) du Mali, du Burkina Faso, du Niger, du Togo, du Sénégal et de la Guinée Bissau qui ont pris part à ces assises ont présenté à tour de rôle leurs différentes structures au cours de la cérémonie, marquée par la présence de la représentante spéciale de l'Onu en Côte d'Ivoire, Aichatou Mindaoudou, du président ivoirien de la cour suprême et du médiateur de la République.
La table ronde organisée par le Haut-commissariat aux réfugiés à Banjul en Gambie du 4 au 5 décembre 2013, regroupant les INDH et la société civile afin de réfléchir sur la problématique en Afrique de l’Ouest a jeté les bases de la création de ce réseau.
bsb/fmo/kam
Selon le Ministre Coulibaly, aucune constitution ne fait fi des Droits de l’homme et c’est la raison pour laquelle le gouvernement dans l’avant-projet de la nouvelle constitution est resté attaché aux Droits de l’homme. "La personne humaine est sacrée et le droit en la vie est inviolable", s'est-il exprimé avant d’ouvrir officiellement cette Assemblée qui a eu lieu à l’hôtel Palm Club de Cocody.
La présidente de la Commission des Droits de l’homme en Côte d’Ivoire (CNDHCI), Sangaré Namizata, a indiqué que le RINDH-UEMOA vise à créer un cadre de réflexion et d’échanges sur toutes les problématiques liées à la promotion et la protection des droits de l’homme dans l’espace UEMOA.
Elle a également indiqué que la mission du réseau sera d’interpeller, de conseiller les pouvoirs publiques, les acteurs de défenses des droits de l’homme, sur la nécessité de fédérer les énergies et les bases collectives d’une action collective et efficace de promotion et de protection des droits de l’homme.
Les présidents des institutions nationales des Droits de l’homme (INDH) du Mali, du Burkina Faso, du Niger, du Togo, du Sénégal et de la Guinée Bissau qui ont pris part à ces assises ont présenté à tour de rôle leurs différentes structures au cours de la cérémonie, marquée par la présence de la représentante spéciale de l'Onu en Côte d'Ivoire, Aichatou Mindaoudou, du président ivoirien de la cour suprême et du médiateur de la République.
La table ronde organisée par le Haut-commissariat aux réfugiés à Banjul en Gambie du 4 au 5 décembre 2013, regroupant les INDH et la société civile afin de réfléchir sur la problématique en Afrique de l’Ouest a jeté les bases de la création de ce réseau.
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