Le porte-parole du gouvernement ivoirien Bruno Koné a annoncé mercredi la création d'un organe chargé d'enregistrer les plaintes liées aux nuisances sonores, à l'issue d'un Conseil des ministres.
"Le ministère de la salubrité urbaine et de l'assainissement sera chargé de créer un organe d'enregistrement de plaintes des nuisances sonores en Côte d'Ivoire", a déclaré M. Koné précisant que "le volume sonore autorisé varie de trois décibels pour les zones les plus sensibles à six décibels pour les zones les moins vulnérables."
Ce projet "vise à prévenir, à limiter, voire supprimer l'émission ou la propagation des bruits ou vibrations qui sont de nature à présenter des dangers, à causer un trouble excessif aux personnes, à nuire à la santé ou à porter atteinte à l'environnement", a-t-il indiqué.
"Il est fait obligation aux professionnels émetteurs de bruit, de réaliser une étude des nuisances sonores comportant les mesures prises pour leur atténuation", a notifié le porte-parole du gouvernement, ajoutant qu'ils devront également "réaliser la cartographie sonore de leur environnement immédiat et établir un programme annuel de mesures sonores".
Selon Bruno Koné, le non-respect de cette réglementation peut aller à "la confiscation de l'objet ayant servi à émettre le bruit, à la suspension ou à l'interdiction de l'activité professionnelle, commerciale, artisanale et culturelle à l'origine du bruit".
HAN
"Le ministère de la salubrité urbaine et de l'assainissement sera chargé de créer un organe d'enregistrement de plaintes des nuisances sonores en Côte d'Ivoire", a déclaré M. Koné précisant que "le volume sonore autorisé varie de trois décibels pour les zones les plus sensibles à six décibels pour les zones les moins vulnérables."
Ce projet "vise à prévenir, à limiter, voire supprimer l'émission ou la propagation des bruits ou vibrations qui sont de nature à présenter des dangers, à causer un trouble excessif aux personnes, à nuire à la santé ou à porter atteinte à l'environnement", a-t-il indiqué.
"Il est fait obligation aux professionnels émetteurs de bruit, de réaliser une étude des nuisances sonores comportant les mesures prises pour leur atténuation", a notifié le porte-parole du gouvernement, ajoutant qu'ils devront également "réaliser la cartographie sonore de leur environnement immédiat et établir un programme annuel de mesures sonores".
Selon Bruno Koné, le non-respect de cette réglementation peut aller à "la confiscation de l'objet ayant servi à émettre le bruit, à la suspension ou à l'interdiction de l'activité professionnelle, commerciale, artisanale et culturelle à l'origine du bruit".
HAN