Dans le but d’identifier les besoins des acteurs nationaux et sous-régionaux de la filière banane plantain, de planifier et valider les projets ou programmes de diffusion sur la banane plantain pour les six prochaines années, un séminaire sous-régional se tient depuis le 10 octobre à Grand-Bassam.
L’atelier qui rassemble 66 participants issus des organisations d’acteurs, des structures de recherche et de développement, des institutions sous régionales et des partenaires de la Filière Banane Plantain est initié par deux structures du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO/WAAPP) en l’occurrence le Fonds Interprofessionnel pour la Recherche et le Conseil Agricoles (FIRCA et le Centre National de Spécialisation sur le plantain, respectivement Agence de coordination et organe d’exécution.
Selon une étude conduite par le CORAF/WECARD en 2014, la banane plantain constitue l’un des produits alimentaires de base en Afrique de l’Ouest qui est une zone de forte production et de forte consommation.
Cependant, la demande en banane plantain reste insuffisamment couverte en Afrique de l’Ouest puisqu’une marge de 25 250 tonnes de banane plantain reste à couvrir mensuellement en Afrique de l’Ouest.
Par ailleurs, la Côte d’Ivoire est le pays le plus pourvoyeur des pays ouest africains en banane plantain, pendant que le Ghana, aussi gros exportateur, est essentiellement tourné vers les pays du Nord.
Néanmoins beaucoup reste à faire pour espérer une production de banane qui réponde de façon durable à la demande nationale et régionale, selon l’avis du Dr Yte Wongbé, Directeur général du Centre National de Recherche Agronomique (CNRA), qui déplore que la production du plantain soit encore tributaire des pluies et marquée par des périodes de pénurie très remarquées.
Pour lui, il y a donc nécessité d’une prise en main de la problématique du plantain par la recherche pour lever les contraintes à sa production, à sa transformation, à sa mise en marché.
Il s’agit donc pour les panélistes d’élaborer, à la sortie des travaux et de façon consensuelle, le portefeuille de projets à exécuter sur la période 2017-2022, au profit de la Filière Banane Plantain, tout en prenant en compte les besoins sous régionaux des autres pays du WAAPP.
La représentante du directeur du CORAF/WAAPP a quant à elle a salué l’intégration africaine, possible grâce au PPAAO/WAAPP, des pays de la sous-région en matière de recherche et produits.
Notons que la banane plantain représente la 3ème culture vivrière de la Côte d’Ivoire avec une production annuelle estimée à 1,7 million de tonnes.
L’atelier qui rassemble 66 participants issus des organisations d’acteurs, des structures de recherche et de développement, des institutions sous régionales et des partenaires de la Filière Banane Plantain est initié par deux structures du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO/WAAPP) en l’occurrence le Fonds Interprofessionnel pour la Recherche et le Conseil Agricoles (FIRCA et le Centre National de Spécialisation sur le plantain, respectivement Agence de coordination et organe d’exécution.
Selon une étude conduite par le CORAF/WECARD en 2014, la banane plantain constitue l’un des produits alimentaires de base en Afrique de l’Ouest qui est une zone de forte production et de forte consommation.
Cependant, la demande en banane plantain reste insuffisamment couverte en Afrique de l’Ouest puisqu’une marge de 25 250 tonnes de banane plantain reste à couvrir mensuellement en Afrique de l’Ouest.
Par ailleurs, la Côte d’Ivoire est le pays le plus pourvoyeur des pays ouest africains en banane plantain, pendant que le Ghana, aussi gros exportateur, est essentiellement tourné vers les pays du Nord.
Néanmoins beaucoup reste à faire pour espérer une production de banane qui réponde de façon durable à la demande nationale et régionale, selon l’avis du Dr Yte Wongbé, Directeur général du Centre National de Recherche Agronomique (CNRA), qui déplore que la production du plantain soit encore tributaire des pluies et marquée par des périodes de pénurie très remarquées.
Pour lui, il y a donc nécessité d’une prise en main de la problématique du plantain par la recherche pour lever les contraintes à sa production, à sa transformation, à sa mise en marché.
Il s’agit donc pour les panélistes d’élaborer, à la sortie des travaux et de façon consensuelle, le portefeuille de projets à exécuter sur la période 2017-2022, au profit de la Filière Banane Plantain, tout en prenant en compte les besoins sous régionaux des autres pays du WAAPP.
La représentante du directeur du CORAF/WAAPP a quant à elle a salué l’intégration africaine, possible grâce au PPAAO/WAAPP, des pays de la sous-région en matière de recherche et produits.
Notons que la banane plantain représente la 3ème culture vivrière de la Côte d’Ivoire avec une production annuelle estimée à 1,7 million de tonnes.