Abidjan – Le gouvernement ivoirien est aux côtés des femmes rurales et lance un appel à leur soutien par la communauté internationale dans une déclaration dont la ministre de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’enfant, Euphrasie Kouassi Yao, a livré la teneur à l’occasion de la 9ème édition de la Journée Internationale de la Femme rurale que la Côte d’Ivoire célèbre, ce samedi autour du thème « la femme, clé de la sécurité alimentaire ».
« À l’occasion de cette 9ème édition de la Journée de la Femme rurale, le gouvernement voudrait remercier tous ses partenaires pour leur appui constants à ses côtés, et les inviter par la même occasion à intensifier leur soutien, afin que les programmes en cours apportent une réponse adéquate aux préoccupations de nombreuses femmes qui sont encore dans l’attente », appelle Mme Euphrasie Kouassi Yao.
Le gouvernement saisit cette opportunité pour lancer un appel à tous les acteurs sociaux « pour unir leurs forces, en vue de donner aux femmes, le pouvoir d’assurer sereinement, la sécurité alimentaire et nutritionnelle pour notre bien-être à toutes et tous ».
Les festivités officielles de cette journée sont prévues dans la ville d’Agnibilékrou, (région du Djuablin, Nord-Est) dans la première semaine de décembre pour « la valorisation du travail de la femme rurale », indique Mme Yao Euphrasie.
Les femmes rurales représentent près de 67% de la main d’œuvre agricole, selon le Plan national d’investissement agricole (PNIA), notamment dans l’agriculture de subsistance dont elles assurent 60 à 80% de la production. Mais, en tant que productrices de denrées périssables, en particulier les légumes, elles sont les principales victimes de l’enclavement des zones de production, de l’absence d’infrastructures de conservation et de transformation, déplore-t-elle.
« Nombreuses, parmi elles voient encore malheureusement, leur autonomisation freinée par l’analphabétisme, des capacités insuffisantes en compétences de vie et des difficultés d’accès au foncier, au crédit et aux technologies, ainsi qu’à d’autres ressources vitales comme l’eau », regrette-t-elle dans sa déclaration.
« Le gouvernement a toutefois décidé d’intensifier ses interventions pour leur permettre d’améliorer leurs compétences techniques, d’accéder aux moyens de production y compris le crédit et d’acquérir le pouvoir de contrôle et de gestion de leurs revenus, afin qu’elles jouent pleinement leur rôle dans la dynamique d’émergence, entreprise par notre pays sous la houlette du président de la République, Alassane OUATTARA », souligne le membre du gouvernement.
Ainsi, en va-t-il du Fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire de la Première dame d’un montant de huit milliards qui constitue « une réponse pertinente » aux besoins récurrents de financements de ces femmes agricultrices vivant dans la précarité, du Programme Compendium des compétences Féminines de Côte d’Ivoire qui met en lumière les femmes du milieu rural qui excellent dans leurs domaines d’activités et assure leur promotion, afin qu’elles soient des catalyseurs en matière d’autonomisation de la femme rurale dans leur localité ou encore le programme Autonomisation des Femmes de Côte d’Ivoire, qui entend mettre à la disposition des femmes, des outils et équipements pour réduire la pénibilité et le temps de leur travail.
« A coté de ces programmes spécifiques, le gouvernement a entrepris la construction de nombreuses infrastructures socio-économiques notamment les routes, les marchés et les centres de stockages pour faciliter l’écoulement des différentes productions agricoles notamment celles des femmes », affirme Mme Euphrasie Kouassi Yao.
aaa/ask
« À l’occasion de cette 9ème édition de la Journée de la Femme rurale, le gouvernement voudrait remercier tous ses partenaires pour leur appui constants à ses côtés, et les inviter par la même occasion à intensifier leur soutien, afin que les programmes en cours apportent une réponse adéquate aux préoccupations de nombreuses femmes qui sont encore dans l’attente », appelle Mme Euphrasie Kouassi Yao.
Le gouvernement saisit cette opportunité pour lancer un appel à tous les acteurs sociaux « pour unir leurs forces, en vue de donner aux femmes, le pouvoir d’assurer sereinement, la sécurité alimentaire et nutritionnelle pour notre bien-être à toutes et tous ».
Les festivités officielles de cette journée sont prévues dans la ville d’Agnibilékrou, (région du Djuablin, Nord-Est) dans la première semaine de décembre pour « la valorisation du travail de la femme rurale », indique Mme Yao Euphrasie.
Les femmes rurales représentent près de 67% de la main d’œuvre agricole, selon le Plan national d’investissement agricole (PNIA), notamment dans l’agriculture de subsistance dont elles assurent 60 à 80% de la production. Mais, en tant que productrices de denrées périssables, en particulier les légumes, elles sont les principales victimes de l’enclavement des zones de production, de l’absence d’infrastructures de conservation et de transformation, déplore-t-elle.
« Nombreuses, parmi elles voient encore malheureusement, leur autonomisation freinée par l’analphabétisme, des capacités insuffisantes en compétences de vie et des difficultés d’accès au foncier, au crédit et aux technologies, ainsi qu’à d’autres ressources vitales comme l’eau », regrette-t-elle dans sa déclaration.
« Le gouvernement a toutefois décidé d’intensifier ses interventions pour leur permettre d’améliorer leurs compétences techniques, d’accéder aux moyens de production y compris le crédit et d’acquérir le pouvoir de contrôle et de gestion de leurs revenus, afin qu’elles jouent pleinement leur rôle dans la dynamique d’émergence, entreprise par notre pays sous la houlette du président de la République, Alassane OUATTARA », souligne le membre du gouvernement.
Ainsi, en va-t-il du Fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire de la Première dame d’un montant de huit milliards qui constitue « une réponse pertinente » aux besoins récurrents de financements de ces femmes agricultrices vivant dans la précarité, du Programme Compendium des compétences Féminines de Côte d’Ivoire qui met en lumière les femmes du milieu rural qui excellent dans leurs domaines d’activités et assure leur promotion, afin qu’elles soient des catalyseurs en matière d’autonomisation de la femme rurale dans leur localité ou encore le programme Autonomisation des Femmes de Côte d’Ivoire, qui entend mettre à la disposition des femmes, des outils et équipements pour réduire la pénibilité et le temps de leur travail.
« A coté de ces programmes spécifiques, le gouvernement a entrepris la construction de nombreuses infrastructures socio-économiques notamment les routes, les marchés et les centres de stockages pour faciliter l’écoulement des différentes productions agricoles notamment celles des femmes », affirme Mme Euphrasie Kouassi Yao.
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