Un atelier pour la validation des projets de document de la politique sectorielle de l’eau potable en Côte d’Ivoire et de la stratégie nationale de gestion et de maintenance des infrastructures d’eau en milieu rural se tient lundi à Cocody-Abidjan à l’initiative du ministère des Infrastructures économique dans le cadre de la mise en œuvre du Programme hydraulique et assainissement pour le millénaire (PHAM).
Selon le ministre des Infrastructures économique, Achi Patrcik qui s’exprimait à l’ouverture de cet l’atelier, pour accompagner la mise en œuvre optimale des reformes entreprises par le Gouvernement ivoirien , il est nécessaire « de doter le secteur de l’eau en documents et outils de référence performants».
Il s’agit, a-t-il expliqué, de clarifier le rôle et les responsabilités des différents acteurs, définir les grandes orientations stratégiques pour un développement harmonieux et durable de ce secteur.
« Les conclusions de cet atelier seront des indicateurs tangibles qui pourront permettre de consolider des acquis mais surtout de constituer un cadre propice pour de nombreux bailleurs de fond pour lesquels l’existence de texte est un préalable à toute intervention », a-t-il déclaré, insistant sur le fait qu’à l’issue des travaux, les participants devront apporter des « réponses actives et innovantes » pour le développement tendant à combler les attentes en eau potable des populations.
Cet atelier réunit une centaine de participants comprenant des acteurs du service public de l’eau potable, des représentants des structures administratives publiques, des collectivités décentralisées, de la société civile, du secteur privé, des partenaires techniques et financiers.
tad/ask
Selon le ministre des Infrastructures économique, Achi Patrcik qui s’exprimait à l’ouverture de cet l’atelier, pour accompagner la mise en œuvre optimale des reformes entreprises par le Gouvernement ivoirien , il est nécessaire « de doter le secteur de l’eau en documents et outils de référence performants».
Il s’agit, a-t-il expliqué, de clarifier le rôle et les responsabilités des différents acteurs, définir les grandes orientations stratégiques pour un développement harmonieux et durable de ce secteur.
« Les conclusions de cet atelier seront des indicateurs tangibles qui pourront permettre de consolider des acquis mais surtout de constituer un cadre propice pour de nombreux bailleurs de fond pour lesquels l’existence de texte est un préalable à toute intervention », a-t-il déclaré, insistant sur le fait qu’à l’issue des travaux, les participants devront apporter des « réponses actives et innovantes » pour le développement tendant à combler les attentes en eau potable des populations.
Cet atelier réunit une centaine de participants comprenant des acteurs du service public de l’eau potable, des représentants des structures administratives publiques, des collectivités décentralisées, de la société civile, du secteur privé, des partenaires techniques et financiers.
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