La 2ème édition du Forum africain de la finance islamique initié par la Société islamique pour le développement du secteur privé (ICD) a refermé ses portes, mardi, à Abidjan avec à la clé ,12 recommandations pour l’essor de cette finance sur ce continent, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Il s’agit entre autres de « l’accomplissement des diligences en vue de l’émission de Sukuk par les entreprises opérant dans le secteur privé, la promotion de l’économie numérique en soutien à la vulgarisation de la finance islamique, l’insertion de modules de finance islamique dans les programmes de formation initiale et continue dispensés en Afrique , l’examen des modalités d’optimisation de financement islamique pour les Etats africains sous-programme avec les Institutions internationales de financement conventionnel du développement».
Le renforcement des capacités des Etats africains en matière de contractualisation suivant le mode de «Partenariat Public Privé qui se présente comme une solution palliative à la contrainte de taux d’endettement, la poursuite des activités de sensibilisation des acteurs et des populations africaines à la finance islamique, la standardisation des produits islamiques et leur simplification en vue d’en faciliter l’appropriation par les utilisateurs, l’ouverture des réflexions sur l’intégration des spécificités des opérations financières islamiques dans le cadre comptable africain de manière à garantir la fiabilité de l’information financière, l’élaboration de directives par les Institutions monétaires centrales », sont également inscrits au chapitre des recommandations dudit forum.
La ministre du plan et du développement, Nialé Kaba, a souligné au terme des travaux que le gouvernement ivoirien attache «beaucoup d’intérêt et d’importance dans l’optique de voir la Finance islamique devenir un instrument privilège du développement des pays de la sous-région».
SY/ls/APA
Il s’agit entre autres de « l’accomplissement des diligences en vue de l’émission de Sukuk par les entreprises opérant dans le secteur privé, la promotion de l’économie numérique en soutien à la vulgarisation de la finance islamique, l’insertion de modules de finance islamique dans les programmes de formation initiale et continue dispensés en Afrique , l’examen des modalités d’optimisation de financement islamique pour les Etats africains sous-programme avec les Institutions internationales de financement conventionnel du développement».
Le renforcement des capacités des Etats africains en matière de contractualisation suivant le mode de «Partenariat Public Privé qui se présente comme une solution palliative à la contrainte de taux d’endettement, la poursuite des activités de sensibilisation des acteurs et des populations africaines à la finance islamique, la standardisation des produits islamiques et leur simplification en vue d’en faciliter l’appropriation par les utilisateurs, l’ouverture des réflexions sur l’intégration des spécificités des opérations financières islamiques dans le cadre comptable africain de manière à garantir la fiabilité de l’information financière, l’élaboration de directives par les Institutions monétaires centrales », sont également inscrits au chapitre des recommandations dudit forum.
La ministre du plan et du développement, Nialé Kaba, a souligné au terme des travaux que le gouvernement ivoirien attache «beaucoup d’intérêt et d’importance dans l’optique de voir la Finance islamique devenir un instrument privilège du développement des pays de la sous-région».
SY/ls/APA